Ce 18 avril, la cour d’appel de Metz a relaxé un policier condamné en première instance pour des faits de violences sur ses enfants et sa compagne. Dans leur arrêt, les juges ont indiqué qu’un « droit de correction est reconnu aux parents ». Une décision qui indigne la sénatrice Marie-Pierre de la Gontrie, rapporteure d’une proposition de loi qui interdit les « violences éducatives » depuis 2019.
Emmanuel Macron tient jeudi à la Sorbonne un discours sur l’Europe. Si c’est le chef de l’Etat qui s’exprime officiellement pour « donner une vision », il s’agit aussi de pousser son camp, alors que la liste de la majorité patine dans les sondages. Mais il n’y a « pas un chevalier blanc qui va porter la campagne. Ce n’est pas Valérie Hayer toute seule et ce ne sera même pas Emmanuel Macron tout seul », prévient la porte-parole de la liste, Nathalie Loiseau, qui défend l’idée d’« un collectif ».
L’État reprend une nouvelle fois la main dans l’évolution de la convention de l’assurance chômage. Il fixera lui-même les nouvelles règles, moins favorables aux demandeurs d’emploi, qui s’appliqueront à partir du 1er juillet. Dans un communiqué, le ministère du Travail dit « regretter » l’échec, début avril, des négociations entre les partenaires sociaux sur la vie au travail et l’emploi des seniors. Le patronat et trois syndicats (CFDT, FO, CFTC) étaient parvenus, non sans difficultés, à un accord le 10 novembre sur de nouvelles règles d’indemnisation. Celles relatives à l’indemnisation des seniors avaient été volontairement mises de côté, le temps de négocier sur leurs conditions de travail et le maintien en emploi. Le gouvernement n’a d’ailleurs pas agréé à l’automne l’accord sur l’assurance chômage, pour cause d’incertitudes sur les économies attendues. Or, cette autre négociation sur l’emploi des seniors s’est soldée par un échec, le patronat refusant de prendre de nouveaux engagements contraignants. En conséquence de quoi, la convention d’assurance chômage n’a pu être complétée. Sans préciser ce qui allait changer dans l’évolution des règles, le gouvernement a précisé qu’il prendrait un « décret de carence » d’ici au 30 juin. Son contenu devrait « concourir à l’atteinte du plein-emploi et de favoriser le retour rapide en emploi des chômeurs indemnisés ». C’était la troisième fois depuis 2014 que l’État reprend la même sur la définition de la convention de l’Unédic. Les actuelles règles de l’assurance chômage expiraient en principe fin 2023 mais avaient été prolongées par un « décret de jointure » jusqu’au 30 juin. Fin mars, le Premier ministre avait évoqué un « atterrissage » avec les partenaires sociaux « à l’automne ». La définition se fera après une phase de « concertation », qui doit commencer « dans les prochaines semaines », selon le ministère du Travail. Une chose est sûre, le Premier ministre avait annoncé dès janvier, avant même l’issue des négociations, vouloir « aller plus loin dans la réforme de l’assurance chômage ». La semaine dernière, le chef du gouvernement avait simplement rappelé les trois paramètres pour faire évoluer les règles : la durée d’indemnisation, la durée de travail requise pour pouvoir être indemnisé, et le montant de l’indemnisation. Précisant que les trois possibilités étaient « ouvertes », Gabriel Attal avait réaffirmé sa préférence pour un durcissement de la condition d’affiliation, la durée de travail nécessaire avant toute indemnisation. En début d’année, le gouvernement avait également mis la durée d’indemnisation sur la table. « On est passé de 24 à 18 mois de durée d’indemnisation, on peut encore la réduire », affirmait en février au JDD Gabriel Attal.
La présidente de la commission spéciale sur le projet de loi sur la fin de vie explique qu’il est « important d’écouter tout le monde et de se faire son propre avis », alors que les travaux commencent à l’Assemblée. Elle affirme que le texte ne revient pas à légaliser l’euthanasie.
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Du 6 au 9 juin 2024, les 450 millions d’habitants de l’Union européenne sont appelés aux urnes pour élire leurs représentants au Parlement européen. En France le scrutin aura lieu le 9 juin. Enjeux politiques, décryptages, focus pédagogiques, retrouvez ici tous nos articles sur ces élections majeures pour l'avenir de l'Union européenne.
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Alors que la liste menée par Jordan Bardella (31.5%) devance de plus de 14 points la liste Renaissance, menée par Valérie Hayer (17%), selon le dernier sondage IFOP-Fiducial pour LCI, le Figaro et Sud-Radio, le parti de Marine Le Pen, mise désormais sur l’électorat âgé, traditionnellement très mobilisé pour les élections intermédiaires. Désormais deuxième force politique chez les plus de 65 ans (le RN conquiert 24% de cet électorat, 7 points de moins que Renaissance), la stratégie semble porter ses fruits. Décryptage avec le politologue Pascal Perrineau, professeur émérite à Sciences Po Paris et récent auteur de l’ouvrage Le Goût de la politique : Un observateur passionné de la Ve République, aux éditions Odile Jacob.
A moins de 50 jours des élections européennes, qui se tiendront en France le 9 juin, les députés se réunissent une dernière fois à Strasbourg, afin d’entamer une semaine marathon de votes. Au programme, pas moins de 89 textes législatifs seront examinés par les élus, qui viendront s’ajouter aux 359 déjà votés depuis le début de la législature en 2019. Pour autant, la plupart des textes, longuement négociés par les différentes institutions européennes ces derniers mois, devraient permettre d’éviter des débats qui s’éternisent.
Marie Toussaint, Yannick Jadot, Priscillia Ludosky, Cédric Villani… La liste EELV-Les Ecologistes, présentée officiellement ce lundi 22 avril 2024, mélange eurodéputés sortants, figures d’EELV et personnalités plus inattendues.
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Le 9 juin, les Français voteront pour désigner les 81 eurodéputés du pays, qui siègeront au Parlement européen pour les cinq années à venir. Mais à quoi servent ces députés ? Les réponses dans cet article.
Ce 10 avril, le projet de loi sur la fin de vie a été présenté en Conseil des ministres. Un texte sensible, face auxquels plusieurs parlementaires de droite ont déjà annoncé leur hostilité. Invité de Parlement hebdo, le sénateur Renaissance Xavier Iacovelli reconnaît que les débats risquent d’être longs.