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Politique
Les « films de l’été » 1/8 : Thierry Le Luron, un pionnier de l’humour politique ?
« C’était un petit surdoué, une sale gosse d’une impertinence rare » se souvient Michel Drucker… Chanteur lyrique de formation, devenu imitateur et comique, Thierry Le Luron a marqué par sa brève carrière le paysage culturel et médiatique des années 70 et 80. Tissé d'interviews de ceux qui l’ont connu ou admiré et de larges extraits de sketchs, le documentaire de Jacques Pessis « Le Luron en campagne » diffusé cet été sur Public Sénat montre combien Thierry Le Luron était insolent à une époque où l'humour n’était pas aussi libre qu’on pourrait le penser aujourd’hui.
Le
Parlementaire
François Bayrou a annoncé deux projets de loi principaux pour les prochains mois, deux initiatives qui s’ajoutent déjà à d’autres textes gouvernementaux déjà en cours de préparation. Dans l’ordre du jour prévisionnel avant le marathon budgétaire de l’automne, les places seront chères.
Le
Politique
Les associations seront-elles sacrifiées par le serrage de vis budgétaire ?
Il l’a annoncé mardi, François Bayrou veut faire 43,8 milliards d’euros d’économies. Tous les ministères sont priés de contribuer à l’effort, sauf la défense, la sécurité, la santé et l’écologie. Une des missions qui voit ses crédits diminuer, c’est la mission Sport, jeunesse et vie associative. Cette baisse, conjuguée à la baisse des crédits alloués à la mission Aide publique au développement est un mauvais signal pour les associations françaises, qui sont déjà dans une mauvaise passe. En France, le 1,27 million d’associations sont financées de trois manières : par les subventions de l’Etat, des collectivités locales et par les dons, qui permettent de bénéficier de réduction d’impôts. L’inspection générale des finances chiffre à 53 milliards d’euros le financement public alloué aux associations en 2023. -17,6 % sur la mission Sport, jeunesse et vie associative La mission Sport, jeunesse et vie associative finance de très nombreux dispositifs : la politique en faveur du sport, des Jeux olympiques de 2030, de la politique en faveur de la jeunesse mais aussi de la vie associative. D’autres missions budgétaires participent à ce financement, comme l’Aide publique au développement. Or, ces deux missions voient leurs crédits diminuer dans le projet de budget pour 2026. Dans le tiré à part, le document qui liste les dépenses prévues pour chaque mission budgétaire, présenté le 15 juillet, les crédits de la première sont prévus à 1,2 milliard d’euros pour 2026, contre 1,5 milliard en 2025, soit une baisse de 300 millions d’euros. Pour l’APD, c’est une baisse de 700 millions d’euros. Pour Éric Jeansannetas, sénateur PS de la Creuse et rapporteur des crédits de la mission Sport, jeunesse et vie associative au Sénat, cette baisse est « extrêmement inquiétante ». « C’est une baisse de 300 millions d’euros sur un budget de 1 700 millions, la plus petite mission du budget. On la sacrifie, c’est elle qui perd le plus de crédits en proportion », juge-t-il. Cela inquiète les associations. « 300 millions d’euros, c’est -17,6 % », s’inquiète Pauline Hery, chargée de plaidoyer à France Générosités, « cela montre un recul du financement de la solidarité ». Mais à ce stade, il est difficile pour elle de savoir à quoi s’attendre, le budget n’en est qu’au début de son parcours. Elle n’est pas très optimiste : « On s’attend à des baisses, on sait qu’il y aura des efforts à faire partout ». Lors de son audition devant le Sénat le 16 juillet dernier, Amélie de Montchalin l’a pourtant sous-entendu : ces 300 millions d’euros de baisse ne toucheront pas directement les associations. « 100 millions concerneront l’unification des guichets d’aides aux collectivités territoriales en matière d’équipements sportifs », a-t-elle expliqué. Elle a également assuré que le Service national universel ne serait « pas pérennisé dans sa forme actuelle ». Une explication qui n’a pas convaincu Éric Jeansannetas. « L’année dernière, nous étions tous d’accord au Sénat pour maintenir les crédits de la mission, l’engagement associatif, ce n’est ni de droite ni de gauche », justifie-t-il. 6 % du financement des associations provient d’une niche fiscale Le point d’attention principal du secteur associatif se trouve sur la niche fiscale dont il bénéficie. Pour toutes les associations reconnues d’utilité publique en France, les dons ouvrent le droit à une réduction d’impôts de 66 % du montant donné, dans la limite de 20 % du revenu imposable. Une autre disposition existe pour les associations d’aide aux personnes en difficulté ou victimes de violences, la niche « Coluche » : la réduction d’impôt s’élève alors jusqu’à 75 % du montant, dans la limite de 1 000 €, après quoi le dispositif à 66 % s’applique. Ces deux dispositifs fiscaux représentent 6 % du financement des associations françaises. L’inspection générale des finances a publié, le 16 juillet dernier, un rapport de revue des dépenses publiques en direction des associations. Il pointe une forte augmentation de celles-ci, de 44 % entre 2019 et 2023. S’il reconnaît que « les associations du secteur social, […] paraissent fragilisées par l’inflation et l’augmentation de leur masse salariale », il propose néanmoins de faire un à trois milliards d’euros d’économies. Parmi les pistes de réforme, l’IGF émet l’idée de supprimer la niche « Coluche » et d’abaisser le plafond d’exonération d’impôt de 20 % du revenu à 2000€. Il propose aussi de réformer le crédit d’impôt mécénat, qui s’adresse aux entreprises, en passant d’un système de réduction d’impôt à un système de déduction (c’est l’assiette initiale qui est déduite du montant). Devant ce texte, les associations ont fait part de leur vive inquiétude. « Nous avons été particulièrement alertés par ce rapport. La mise en place des mesures concernant la niche fiscale et le mécénat d’entreprise engendreraient une diminution de 19 à 26 % de la générosité déclarée dans le pays », explique Pauline Hery. Devant l’inquiétude du secteur, François Bayrou a assuré que les dispositifs fiscaux n’étaient pas en danger. « Nous allons y rester attentifs », assure-t-elle. Plus de subventions des collectivités locales ? Autre source d’inquiétude pour les associations : les économies demandées aux collectivités locales, à hauteur de 5,3 milliards d’euros. Elles sont elles aussi pourvoyeuses de financement, et la contrainte sur leur budget risque également de diminuer les subventions. D’après le rapport de l’IGF, en 2023, 49 % des financements publics des associations provenaient des communes, départements et régions. Au sein des collectivités territoriales, ce sont les départements qui pèsent le plus dans les budgets des associations, car ils sont en charge de la politique sociale, et délèguent leurs missions à de nombreuses associations. « Les cinq milliards d’euros d’économies sur les collectivités locales vont mettre un frein aux subventions aux associations », prédit le sénateur socialiste, « les premières victimes de ces réductions budgétaires, ce sont les associations culturelles, sportives ». « Cela nous inquiète depuis l’année dernière », explique Pauline Hery. Les subventions des collectivités, fortement contraintes budgétairement depuis l’augmentation rapide de l’inflation, ont déjà été coupées dans certains cas. « Nous avons beaucoup d’exemples de collectivités qui ont drastiquement coupé les financements des associations dans le secteur de la culture, par exemple. Quand on demande de l’effort aux collectivités territoriales, les associations sont en première ligne sur ces coupes », raconte-t-elle. « Si les financements de la vie associative baissent, cela se répercutera sur les missions d’intérêt général qu’elles mènent » La morosité budgétaire ambiante inquiète. Les coupes budgétaires, combinées à l’année blanche annoncée par le Premier ministre font craindre une augmentation de la pauvreté et des besoins d’aide, par exemple alimentaire. « Si les financements de la vie associative baissent, cela se répercutera sur les missions d’intérêt général qu’elles mènent, et elles devront être remplies par l’Etat, ce qui coûtera plus cher et risque de détruire le tissu social », regrette Pauline Hery, « on a du mal à comprendre que les associations soient mises en première ligne des économies ». Éric Jeansannetas abonde : « Il y aura un retrait des collectivités territoriales des associations d’insertion sociale. Les politiques en direction des jeunes vont être sacrifiées dans ce budget qui va nous être présenté. Cela met en péril nos politiques publiques ». A l’heure où nous écrivons ces lignes, tout reste encore ouvert. La version finale du budget, s’il est voté en temps et en heure, a rarement été aussi imprévisible.
Le
International
Guerre en Ukraine : « Ce paquet de sanctions est avant tout un signal politique »
L’Union européenne a adopté ce vendredi un 18ème paquet de sanctions contre la Russie en ciblant notamment sa manne pétrolière, élément essentiel du financement de la guerre. Si les sanctions s’attaquent directement aux exportations russes en réduisant le prix du baril, elles ciblent également les pays importateurs de pétrole russe.
Le
Budget 2026 : les replays
Budget 2026
Voir le dossierA peine le budget 2025 adopté dans la douleur, le gouvernement de François Bayrou planche déjà sur le projet de loi de finances 2026 avec pour objectif de faire passer le déficit de 5,4% à 4,6% du PIB, avec à la clé 40 milliards d'effort supplémentaire. Après le comité d'alerte des finances publiques où le Premier ministre a posé un diagnostic particulièrement sombre, le gouvernement a dévoilé ses pistes d'économies le 15 juillet. Retrouvez ici tous nos articles sur le budget 2026.
Politique
Les associations seront-elles sacrifiées par le serrage de vis budgétaire ?
Il l’a annoncé mardi, François Bayrou veut faire 43,8 milliards d’euros d’économies. Tous les ministères sont priés de contribuer à l’effort, sauf la défense, la sécurité, la santé et l’écologie. Une des missions qui voit ses crédits diminuer, c’est la mission Sport, jeunesse et vie associative. Cette baisse, conjuguée à la baisse des crédits alloués à la mission Aide publique au développement est un mauvais signal pour les associations françaises, qui sont déjà dans une mauvaise passe. En France, le 1,27 million d’associations sont financées de trois manières : par les subventions de l’Etat, des collectivités locales et par les dons, qui permettent de bénéficier de réduction d’impôts. L’inspection générale des finances chiffre à 53 milliards d’euros le financement public alloué aux associations en 2023. -17,6 % sur la mission Sport, jeunesse et vie associative La mission Sport, jeunesse et vie associative finance de très nombreux dispositifs : la politique en faveur du sport, des Jeux olympiques de 2030, de la politique en faveur de la jeunesse mais aussi de la vie associative. D’autres missions budgétaires participent à ce financement, comme l’Aide publique au développement. Or, ces deux missions voient leurs crédits diminuer dans le projet de budget pour 2026. Dans le tiré à part, le document qui liste les dépenses prévues pour chaque mission budgétaire, présenté le 15 juillet, les crédits de la première sont prévus à 1,2 milliard d’euros pour 2026, contre 1,5 milliard en 2025, soit une baisse de 300 millions d’euros. Pour l’APD, c’est une baisse de 700 millions d’euros. Pour Éric Jeansannetas, sénateur PS de la Creuse et rapporteur des crédits de la mission Sport, jeunesse et vie associative au Sénat, cette baisse est « extrêmement inquiétante ». « C’est une baisse de 300 millions d’euros sur un budget de 1 700 millions, la plus petite mission du budget. On la sacrifie, c’est elle qui perd le plus de crédits en proportion », juge-t-il. Cela inquiète les associations. « 300 millions d’euros, c’est -17,6 % », s’inquiète Pauline Hery, chargée de plaidoyer à France Générosités, « cela montre un recul du financement de la solidarité ». Mais à ce stade, il est difficile pour elle de savoir à quoi s’attendre, le budget n’en est qu’au début de son parcours. Elle n’est pas très optimiste : « On s’attend à des baisses, on sait qu’il y aura des efforts à faire partout ». Lors de son audition devant le Sénat le 16 juillet dernier, Amélie de Montchalin l’a pourtant sous-entendu : ces 300 millions d’euros de baisse ne toucheront pas directement les associations. « 100 millions concerneront l’unification des guichets d’aides aux collectivités territoriales en matière d’équipements sportifs », a-t-elle expliqué. Elle a également assuré que le Service national universel ne serait « pas pérennisé dans sa forme actuelle ». Une explication qui n’a pas convaincu Éric Jeansannetas. « L’année dernière, nous étions tous d’accord au Sénat pour maintenir les crédits de la mission, l’engagement associatif, ce n’est ni de droite ni de gauche », justifie-t-il. 6 % du financement des associations provient d’une niche fiscale Le point d’attention principal du secteur associatif se trouve sur la niche fiscale dont il bénéficie. Pour toutes les associations reconnues d’utilité publique en France, les dons ouvrent le droit à une réduction d’impôts de 66 % du montant donné, dans la limite de 20 % du revenu imposable. Une autre disposition existe pour les associations d’aide aux personnes en difficulté ou victimes de violences, la niche « Coluche » : la réduction d’impôt s’élève alors jusqu’à 75 % du montant, dans la limite de 1 000 €, après quoi le dispositif à 66 % s’applique. Ces deux dispositifs fiscaux représentent 6 % du financement des associations françaises. L’inspection générale des finances a publié, le 16 juillet dernier, un rapport de revue des dépenses publiques en direction des associations. Il pointe une forte augmentation de celles-ci, de 44 % entre 2019 et 2023. S’il reconnaît que « les associations du secteur social, […] paraissent fragilisées par l’inflation et l’augmentation de leur masse salariale », il propose néanmoins de faire un à trois milliards d’euros d’économies. Parmi les pistes de réforme, l’IGF émet l’idée de supprimer la niche « Coluche » et d’abaisser le plafond d’exonération d’impôt de 20 % du revenu à 2000€. Il propose aussi de réformer le crédit d’impôt mécénat, qui s’adresse aux entreprises, en passant d’un système de réduction d’impôt à un système de déduction (c’est l’assiette initiale qui est déduite du montant). Devant ce texte, les associations ont fait part de leur vive inquiétude. « Nous avons été particulièrement alertés par ce rapport. La mise en place des mesures concernant la niche fiscale et le mécénat d’entreprise engendreraient une diminution de 19 à 26 % de la générosité déclarée dans le pays », explique Pauline Hery. Devant l’inquiétude du secteur, François Bayrou a assuré que les dispositifs fiscaux n’étaient pas en danger. « Nous allons y rester attentifs », assure-t-elle. Plus de subventions des collectivités locales ? Autre source d’inquiétude pour les associations : les économies demandées aux collectivités locales, à hauteur de 5,3 milliards d’euros. Elles sont elles aussi pourvoyeuses de financement, et la contrainte sur leur budget risque également de diminuer les subventions. D’après le rapport de l’IGF, en 2023, 49 % des financements publics des associations provenaient des communes, départements et régions. Au sein des collectivités territoriales, ce sont les départements qui pèsent le plus dans les budgets des associations, car ils sont en charge de la politique sociale, et délèguent leurs missions à de nombreuses associations. « Les cinq milliards d’euros d’économies sur les collectivités locales vont mettre un frein aux subventions aux associations », prédit le sénateur socialiste, « les premières victimes de ces réductions budgétaires, ce sont les associations culturelles, sportives ». « Cela nous inquiète depuis l’année dernière », explique Pauline Hery. Les subventions des collectivités, fortement contraintes budgétairement depuis l’augmentation rapide de l’inflation, ont déjà été coupées dans certains cas. « Nous avons beaucoup d’exemples de collectivités qui ont drastiquement coupé les financements des associations dans le secteur de la culture, par exemple. Quand on demande de l’effort aux collectivités territoriales, les associations sont en première ligne sur ces coupes », raconte-t-elle. « Si les financements de la vie associative baissent, cela se répercutera sur les missions d’intérêt général qu’elles mènent » La morosité budgétaire ambiante inquiète. Les coupes budgétaires, combinées à l’année blanche annoncée par le Premier ministre font craindre une augmentation de la pauvreté et des besoins d’aide, par exemple alimentaire. « Si les financements de la vie associative baissent, cela se répercutera sur les missions d’intérêt général qu’elles mènent, et elles devront être remplies par l’Etat, ce qui coûtera plus cher et risque de détruire le tissu social », regrette Pauline Hery, « on a du mal à comprendre que les associations soient mises en première ligne des économies ». Éric Jeansannetas abonde : « Il y aura un retrait des collectivités territoriales des associations d’insertion sociale. Les politiques en direction des jeunes vont être sacrifiées dans ce budget qui va nous être présenté. Cela met en péril nos politiques publiques ». A l’heure où nous écrivons ces lignes, tout reste encore ouvert. La version finale du budget, s’il est voté en temps et en heure, a rarement été aussi imprévisible.
Le
Économie
Avec l’instauration d’une « année blanche », les 44 milliards d’économies espérés par François Bayrou en 2026 devraient notamment impacter les fonctionnaires et les retraités, mais aussi une large part des salariés via le gel du barème de l’impôt sur le revenu. Au niveau du budget de fonctionnement de l’Etat, le portefeuille de la Défense est l'un des seuls dont les crédits sont revus à la hausse, quand il est demandé aux collectivités territoriales de doubler les efforts déjà consentis.
Le
Économie
Selon l’architecture budgétaire actuelle, le prélèvement sur recettes français destiné au budget de l’Union européenne augmentera finalement moins que prévu. C’est le résultat d’une négociation menée par la France et d’autres pays contributeurs net au niveau européen.
Le
Emploi
Pour justifier la suppression de deux jours fériés, le gouvernement pointe le temps de travail des Français qu’il juge inférieur à celui du voisin allemand. En réalité, le nombre d’heures travaillées par les actifs français est supérieur, mais le taux d’emploi est plus élevé en Allemagne. Qu’en est-il réellement ?
Le
Notre sélection de replays
Elections municipales 2026
Voir le dossierLes élections municipales auront lieu en mars 2026. Un scrutin très politique avec une valeur de test pour les partis avant la présidentielle de 2027. Enjeux, décryptages, candidatures, programmes...Retrouvez ici toute l'actualité de ce scrutin majeur. où plus de 50 millions d'électeurs sont appelés aux urnes pour élire leur maire dans près de 35 000 communes.
Politique
Adoptée le 10 juillet, la proposition de loi visant à « réformer le mode d’élection des membres du conseil de Paris et des conseils municipaux de Lyon et de Marseille » doit désormais passer sous les fourches caudines du Conseil constitutionnel. Au moins deux recours ont été déposés sur ce texte, dont l’un porté par la droite sénatoriale. Passage en revue des points litigieux.
Le
Politique
Rien ne va plus dans la 2e circonscription de Paris, où les prétendants de marque se bousculent pour la législative partielle prévue à la rentrée. L’ancien premier ministre LR, Michel Barnier, vise cette circonscription en or pour « revenir dans l’arène », tout comme la ministre de la Culture, Rachida Dati, qui pourrait en faire un « lancement de campagne » pour les municipales, sans oublier sa collègue du gouvernement, Clara Chappaz, pour Renaissance…
Le
Politique
Après l’adoption définitive de la proposition de loi réformant le mode de scrutin pour les municipales à Paris, Lyon et Marseille, les sénateurs LR et les trois groupes de gauche vont déposer chacun un recours devant le Conseil constitutionnel. Pour ses opposants, le texte comporte plusieurs fragilités juridiques.
Le
Politique
La victoire d’Emmanuel Grégoire, dès le premier tour, lors de la primaire PS qui l’opposait au sénateur Rémi Féraud s’explique notamment par « la volonté de tourner la page Hidalgo » chez les militants, mais aussi le poids des rapports de force issus du congrès PS ou la « dérive clanique » autour de la maire sortante.
Le
Parlementaire
Voir le dossierRetrouvez l'ensemble de l'actualité parlementaire ainsi que l’essentiel des débats au Sénat.
Politique
Suppression de deux jours fériés : une idée née au Sénat
Avant la proposition du gouvernement de supprimer deux jours fériés, le Sénat avait déjà émis l’idée d’allonger la durée de travail de sept heures sans que cet allongement n’ouvre le droit à une rémunération. Avec ses propositions, le gouvernement va désormais plus loin.
Le
Parlementaire
EN VIDÉOS - Les élus ont adopté la mise en place d’une holding « exécutive » pour chapeauter France Télévisions, Radio France et l'Ina (Institut national de l'audiovisuel). Après des échanges tendus et face à « l'obstruction » des oppositions, le gouvernement à choisi d’activer le « vote bloqué », une manœuvre constitutionnelle vilipendée par la gauche.
Le
Santé
Vers une crise des opioïdes en France comme aux Etats-Unis ? Dans un rapport, la commission des affaires sociales dresse un bilan sur les risques en France de ces substances pour le soulagement de la douleur. Si un scénario à l’américaine semble « improbable », le rapport préconise tout de même une stratégie de prévention plus importante face à une hausse significative des consommateurs en France.
Le
Politique
Alors que le Sénat doit se prononcer sur la réforme de l’audiovisuel public ce jeudi et ce vendredi, quelques points font encore l’objet de divergences avec le gouvernement, notamment l’inclusion de France Médias Monde au sein de la holding. Enfin, le nombre important d’amendements pourrait allonger les débats.
Le
Nos magazines à revoir
Culture | Le
Au bonheur de la lecture avec Susie Morgenstern, Guillaume Gallienne et Régine Hatchondo
Au bonheur des livres
Ecoutez nos podcasts
Ecouter nos podcastsSens public
Sens Public, l’actualité politique, en France ou à l’international, en débat. Nos invités - experts, observateurs et acteurs du monde politique – décryptent, échangent et confrontent leurs idées sur les sujets d’actualité et les grandes questions qui animent notre société. Présentée par Thomas Hugues, Sens Public est l’émission qui donne du sens et permet de comprendre les grands enjeux de l’actualité.
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Rentrée politique : le chaos, saison 2
Pourquoi Israël bombarde aussi la Syrie
Bonjour chez vous !
"Bonjour Chez Vous !”, c’est le rendez-vous politique matinal présenté par Oriane Mancini, entre 7h30 et 9h. Chaque matin, un invité politique sur un format long de 20 minutes, en partenariat avec la presse quotidienne régionale. “Bonjour Chez Vous !”, c’est également une émission ancrée dans l’actualité et le quotidien des citoyens, et dans les territoires, grâce à un réseau unique de partenariats avec la PQR et les chaînes locales. Dans la dernière partie de l’émission, “Le Club des Territoires”, Oriane Mancini est accompagnée d’une bande de chroniqueurs, pour débattre de l’actualité locale et nationale.
Derniers épisodes
François Bayrou : l’immobilisme en marche ?
L’intégrale du vendredi 11 juillet
Au bonheur des livres
Public Sénat accueille Claire Chazal à la présentation de l’émission « Au bonheur des livres », rendez-vous majeur de la littérature à la télévision. Chaque semaine, elle reçoit deux auteurs, romanciers, biographes, essayistes, historiens… Tous les genres de littérature sont représentés dans « Au bonheur des livres ». En fin d’émission Claire Chazal propose aux téléspectateurs plusieurs coups de cœurs à ne pas manquer.
Derniers épisodes
Au bonheur de la lecture avec Susie Morgenstern, Guillaume Gallienne et Régine Hatchondo
« Spéciale Mers et Océans », avec Sylvain Tesson et Christophe Ono-dit-Biot
Et maintenant !
Steve Jourdin, accompagné de quatre invités, présente “Et maintenant ! “, le rendez-vous politique du week-end sur Public Sénat qui ouvre le débat et revient sur l’actualité de la semaine et les grands enjeux du moment. Entre formules percutantes et débats de fond, tous les sujets sont abordés, sans langue de bois !
Derniers épisodes
Trump, futur prix Nobel de la paix ?
Dominique de Villepin, un candidat pour la gauche ?
Un monde, un regard
Toutes les semaines, Rebecca Fitoussi reçoit des personnalités pour un échange approfondi, explorer leur monde et mieux apprécier le regard qu’ils et qu’elles portent sur notre société.Ils, elles, sont artistes, scientifiques, historiens, universitaires, chefs de restaurants, associatifs, photographes, ou encore politiques. On connait leur visage, leur analyse, leur voix, mais les connait-on vraiment ? Quel a été leur parcours, leur formation, quelles épreuves ont-ils du dépasser pour exercer leur magistère ?Un monde, un regard est aussi une émission diffusée sur Public Sénat (TNT canal 13), tous les vendredis soir.
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Judith Magre, l’infatigable amoureuse du théâtre
Mathieu Sapin, le dessin de l’Intérieur
Le Grand Jury
“Le Grand jury RTL - Le Figaro - Public Sénat – M6” est une émission politique majeure désormais proposée en direct sur Public Sénat, et en simultané sur RTL et Paris Première. Ce grand rendez-vous politique du dimanche est présenté par Olivier Bost, chef du service politique de RTL. Perrine Tarneaud, Directrice de l’information et des rédactions de Public Sénat, participe chaque semaine à l’interview d’un invité politique majeur, en compagnie de Pauline Buisson (M6) et d’un journaliste de la rédaction du Figaro.
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L’invité du Grand Jury : Clément Beaune
L’invité du Grand Jury : Éric Coquerel
Sport, etc.
Réalisé en partenariat avec l'Equipe et L'Agence nationale du sport, Sport, etc. s'adresse aussi bien à ceux qui souhaitent mieux comprendre l'influence grandissante du sport dans nos sociétés et sa part dans l'économie, la sociologie, la politique, qu'aux plus férus de sport désireux d'aborder le sujet autrement.
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Paris 2024, le vrai coût des Jeux
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Dialogue citoyen
Pouvoir d’achat, école, santé, ou transport, chaque mois “Dialogue citoyen“ explore les problèmes du quotidien des Français. Pendant une heure, des citoyens anonymes interpellent les sénateurs. Cinq citoyens face à trois sénateurs dans un échange direct, franc, parfois rugueux pour obtenir des réponses à leurs préoccupations. Un magazine qui recrée du lien entre les citoyens et élus de la Haute Assemblée.
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Paris 2024, un an après, quel héritage pour les Français ?
Jeunes face aux écrans, où placer le curseur ?
Ici l'Europe
Chaque semaine, Public Sénat, LCP-Assemblée nationale et France 24 vous plongent au cœur des questions qui secouent l’Europe : guerre en Ukraine, pacte migratoire, Green deal, ou encore souveraineté digitale. Avec la multiplication des crises, l'Union européenne peut-elle être un rempart ? Quel avenir pour l’Union et ses 450 millions d’habitants ? Chaque semaine, depuis le Parlement européen “Ici l’Europe“ propose une demi-heure d’information et de débats animés par Caroline de Camaret, Alexandre Poussart et en alternance avec un journaliste de LCP-Assemblée nationale pour mieux comprendre les enjeux européens.
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Voiture thermique en Europe stop ou encore ?
Union européenne et Royaume-Uni, un rapprochement durable ?
Parlement hebdo
Chaque semaine, Alexandre Poussart et Kathia Gilder reçoivent un député et un sénateur pour débattre des temps forts de l’actualité parlementaire. Discussions en commissions, débats en séance, bataille autour des amendements, votes… À partir des reportages des rédactions, une plongée hebdomadaire dans les deux chambres du Parlement.
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Quel mix énergétique pour la France ?
Conclave sur les retraites : réussite ou échec ?
Questions au Gouvernement
Chaque mercredi, les sénateurs interpellent les ministres dans l’hémicycle lors d’une séance diffusée en exclusivité sur Public Sénat. Avant et après la séance, Tâm Tran Huy et ses invités débattent des grands sujets d’actualité et débriefent les échanges entre les parlementaires et le gouvernement.
Derniers épisodes
Questions au Gouvernement du 9 juillet
Questions au gouvernement du 25 juin
Taxe Zucman : ce qu'il faut savoir
Économie
Taxe « Zucman » : le Sénat rejette la création d’un nouvel impôt sur les ultra-riches
Le Sénat a dit non, par 188 voix contre 129, ce jeudi 12 juin, à l'instauration de la taxe « Zucman », un impôt plancher sur les patrimoines de plus de 100 millions d’euros. La mesure, plébiscitée par la gauche, s’est heurtée au blocage de la droite et d’une très large partie des centristes.
Le
Napoléon : la série
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Plus de documentairesLe Sénat célèbre ses 150 ans
Parlementaire
Le Sénat célèbre ses 150 ans : retour sur la journée fatidique du 30 janvier 1875
En France, la création du Sénat est indissociable de celle, plutôt laborieuse, de la IIIe République durant le dernier tiers du XIXe siècle. Une période trouble durant laquelle la classe politique se déchire sur la nature du régime à mettre en place. Retour avec l’historien Jean Garrigues sur la journée du 30 janvier 1875, moment charnière de l’histoire de France, qui a permis d’éloigner les tentations monarchiques et de consacrer l’installation du bicamérisme.
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Politique | Le
François Heisbourg : « Personne ne maîtrise Trump sur la scène internationale »
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Politique | Le
Pierre Ouzoulias sur l’audiovisuel public : « L’obstruction est du côté de Rachida Dati »
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