Gérard Larcher reçoit les familles des otages français à Gaza

Ce 25 octobre, le président du Sénat, Gérard Larcher, recevait les familles des neuf otages français détenus à Gaza.
Henri Clavier

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

« J’ai pu échanger à l’instant avec des familles d’otages français retenus par le Hamas. Je le dis ici à tous, la France n’abandonne pas les siens », déclarait Emmanuel Macron durant sa visite en Israël, le 24 octobre. Gérard Larcher, deuxième personnage de l’Etat, a également tenu à recevoir les familles des otages français détenus à Gaza pour échanger avec elles et les assurer de son soutien.
Le président du Sénat est descendu sur le perron de l’hôtel de la Présidence pour accueillir les familles des otages, ainsi que Yonathan Arfi, président du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF). Plusieurs sénateurs étaient présents, parmi lesquels Patrick Kanner, Bruno Retailleau, Roger Karoutchi et Claude Malhuret. Le président du Sénat n’a pas souhaité prendre la parole avant un entretien avec les familles dont la durée n’a pas été communiquée.

Partager cet article

Dans la même thématique

SWITZERLAND-GENEVA-U.S. AND UKRAINE-GENEVA TALKS-RUBIO
6min

International

Plan de paix pour l’Ukraine : « Poutine négocie, car il est en position de faiblesse »

En réponse au plan de paix américain pour l’Ukraine jugé conforme aux exigences russes, les Européens ont établi une contre-proposition que Reuters a dévoilé. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a salué des avancées importantes, mais encore insuffisantes pour une « paix réelle ». Selon Emmanuel Dupuy, président de l’Institut Prospective et Sécurité en Europe (IPSE), ce « moment charnière » n’est que le début d’un « long processus ». La contre-proposition européenne ne convient pas à la Russie a fait savoir le Kremlin.

Le

Chile Election
3min

International

Présidentielle au Chili : 35 ans après la fin de la dictature de Pinochet, l’extrême droite pourrait revenir au pouvoir

Les candidats de droite et d'extrême droite réunissent 70 % des voix lors de ce premier tour de l’élection présidentielle chilienne malgré l’arrivée en tête, avec 26,85 %, de la candidate communiste de la coalition de la gauche, Jeannette Jara. Mais elle dispose de peu de réserves de voix comparée au candidat d’extrême droite José Antonio Kast qui récolte 23,92 % des suffrages.

Le