1er Mai: Macron demande une réponse « extrêmement ferme » face aux « black blocs »
Emmanuel Macron a demandé mardi, au cours du Conseil des ministres, que la réponse aux "black blocs" soit "extrêmement ferme" en...

1er Mai: Macron demande une réponse « extrêmement ferme » face aux « black blocs »

Emmanuel Macron a demandé mardi, au cours du Conseil des ministres, que la réponse aux "black blocs" soit "extrêmement ferme" en...
Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Emmanuel Macron a demandé mardi, au cours du Conseil des ministres, que la réponse aux "black blocs" soit "extrêmement ferme" en cas de violences lors des manifestations du 1er Mai, a déclaré la porte-parole du gouvernement.

"Le président a indiqué que, de manière très ferme, il fallait à la fois permettre aux uns et aux autres, en cette fête très symbolique du Travail de manifester, de revendiquer (...) et qu’on soit extrêmement ferme contre tous ceux qui n'ont pour objectif que le désordre et la violence, voire des agressions en direction des forces de l'ordre", a indiqué Sibeth Ndiaye.

Il a "souhaité que la réponse à l'encontre des +black blocs+ notamment soit extrêmement ferme", a-t-elle ajouté, en précisant que le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner avait fait état du dispositif policier devant le Conseil des ministres. Il le précisera au cours d'une conférence de presse dans l'après-midi.

Des appels à un mercredi "noir et jaune" ont été lancés pour les manifestations du 1er mai et des "gilets jaunes" et les "black blocs" appellent à transformer Paris en "capitale de l'émeute".

Partager cet article

Dans la même thématique

Paris: Questions au gouvernement Senat
8min

Politique

Budget : les sénateurs LR et le gouvernement Lecornu se renvoient la responsabilité de l’échec

Face à l’incapacité des députés et sénateurs à trouver un accord en commission mixte paritaire, le gouvernement fait porter l’échec sur le dos de la droite sénatoriale. Le PS lui emboîte le pas et dénonce le « dogmatisme » de LR. « Pitoyable », rétorque-t-on à droite, où on accuse le gouvernement d’avoir voulu provoquer « l’échec de la CMP ».

Le

5min

Politique

UE-Mercosur : la signature de l’accord reportée à janvier, un simple sursis ?

Ursula von der Leyen a finalement cédé à la demande de la France et de l’Italie, en reportant la signature du traité commercial entre l’Union européenne et le Mercosur à janvier 2026. Une bref répit pour Emmanuel Macron, sous pression des manifestations agricoles, mais « une énorme opération d’enfumage », selon l’eurodéputée Manon Aubry.

Le