Par Public Sénat
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« On ne vient pas à bout d'une crise d'une telle ampleur sans faire bloc, sans une unité ». Ces mots d’Emmanuel Macron, prononcés jeudi soir, lors d’une intervention télévisée sur l’épidémie de coronavirus, ont recueilli l’approbation gauche comme à droite. Du président du groupe LFI à l’Assemblée nationale, Jean-Luc Mélenchon, au Premier secrétaire du PS Olivier Faure en passant le président du groupe LR de l’Assemblée nationale, Damien Abad, sans oublier l’ancien Premier ministre, Manuel Valls.
Son allocution a même pris, parfois, des accents anticapitalistes. « Il est des biens et services qui doivent être placés en dehors des lois du marché ». Qualifié de président des riches par l’opposition depuis le début de son mandat, cette phrase n’a pas manqué de susciter l’ironie de certains.
En ce qui concerne le maintien du premier tour des élections municipales, même en observant les consignes sanitaires diffusées en début de semaine, certains sénateurs s’inquiètent pour les plus électeurs les plus âgés.
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Selon un sondage Ifop, seuls 44 % des électeurs français prévoient de se rendre aux urnes le 9 juin. Dans un scrutin européen marqué par l’abstention, le vote des jeunes sera particulièrement scruté. En 2019, leur mobilisation tardive avait fait grimper le vote écologiste. Feront-ils mentir les sondages en 2024 ?
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La mobilisation de plusieurs dizaines d’étudiants en soutien aux Palestiniens se poursuit à Sciences Po. Après avoir été délogés par les forces de l’ordre dans la nuit de mercredi à jeudi, les étudiants occupaient toujours les lieux ce vendredi. Une action en miroir de celles qui ont lieu sur les campus américains. La droite sénatoriale dénonce l’importation « du wokisme » d’outre Atlantique.
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Invitée ce vendredi 26 septembre de Public Sénat, la tête de liste LFI pour les élections européennes a assumé de mener une campagne largement centrée sur le conflit israélo-palestinien. « Toutes celles et tous ceux qui sont attachés aux droits humains devraient être dans la rue à nos côtés », assure-t-elle.
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Le Parti socialiste demande que le discours d’Emmanuel Macron sur l’Europe, prononcé jeudi 25 avril à la Sorbonne, soit décompté des temps de parole et inscrit dans les comptes de campagne de la majorité présidentielle. Pour le patron du PS, invité de Public Sénat, le chef de l’Etat est devenu « candidat à cette élection européenne ».
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