Par Public Sénat
Temps de lecture :
1 min
Publié le
Mis à jour le
Emmanuel Macron a choisi de s’exprimer ce soir à 20h pour annoncer ses mesures post-grand débat. Des mesures très attendues, après plus de trois mois de débats et une crise des « gilets jaunes » qui se poursuit semaine après semaine.
« Dans aucune démocratie vous avez un président qui va décider seul » ne décolère pas Rachid Temal, sénateur (PS) du Val-d’Oise : « Le minimum aurait été de réunir aussi les forces syndicales et politiques et d’échanger avec elles. Ce n’est pas le cas. »
Et il poursuit : « La question est simple ce soir : est-ce que le président des riches qu’est Emmanuel Macron depuis le début du quinquennat, sera un autre président ou pas, à partir du débat ? Cela veut dire stopper ce qu’il se passe avec x, arrêter la polémique sur le départ retardé de l’âge de la retraite, cela veut dire aussi arrêter la casse sociale…Il faut changer de politique économique. Est-ce que le Président voudra changer de politique économique, sociale et fiscale ? C’est la seule question. Le reste, c’est de la littérature. »
Politique
Calendrier budgétaire : quels sont les différents scénarios pour la semaine prochaine ?
Le calendrier s’annonce plus que serré pour parvenir à un vote sur le budget d’ici la fin de l’année. Au Sénat, on se prépare à différentes hypothèses : 49.3, ordonnances, loi spéciale. On fait le point ici.
Le
Politique
Municipales 2026 : la parité bouscule les petites communes
La parité s’impose désormais dans les communes de moins de 1 000 habitants. À partir des élections municipales de 2026, les listes devront respecter une stricte alternance femmes-hommes, et le panachage sera interdit. Une réforme qui, entre volonté d’égalité et réalités locales, divise fortement les élus.
Le
Politique
Les propos du chef d’Etat-major des Armées, face au congrès des maires de France, ont fait réagir la classe politique, alors qu’il a appelé les édiles à « préparer leurs populations », à un possible conflit dans quelques années. Son discours a aussi réactivé l’idée d’un déploiement d’un nouveau service volontaire par Emmanuel Macron.
Le
Politique
Comme annoncé, la majorité sénatoriale LR et centriste a supprimé la hausse de la CSG sur le capital votée par les députés, censée rapporter 2,66 milliards d’euros. « Vous défendez le capital, le profit, de manière entêtée », a dénoncé le sénateur PS, Yan Chantrel. La rapporteure, la centriste Elisabeth Doineau, a voulu en rester aux « mesures que la majorité sénatoriale avait défendues en juillet auprès de François Bayrou ».
Le
François Baroin ou les hésitations du destin