Par Public Sénat
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Emmanuel Macron a choisi de s’exprimer ce soir à 20h pour annoncer ses mesures post-grand débat. Des mesures très attendues, après plus de trois mois de débats et une crise des « gilets jaunes » qui se poursuit semaine après semaine.
« Dans aucune démocratie vous avez un président qui va décider seul » ne décolère pas Rachid Temal, sénateur (PS) du Val-d’Oise : « Le minimum aurait été de réunir aussi les forces syndicales et politiques et d’échanger avec elles. Ce n’est pas le cas. »
Et il poursuit : « La question est simple ce soir : est-ce que le président des riches qu’est Emmanuel Macron depuis le début du quinquennat, sera un autre président ou pas, à partir du débat ? Cela veut dire stopper ce qu’il se passe avec x, arrêter la polémique sur le départ retardé de l’âge de la retraite, cela veut dire aussi arrêter la casse sociale…Il faut changer de politique économique. Est-ce que le Président voudra changer de politique économique, sociale et fiscale ? C’est la seule question. Le reste, c’est de la littérature. »
Politique
Alors que la proposition d’un impôt sur le patrimoine des plus riches, la taxe Zucman, a été rejetée par la majorité sénatoriale de droite et du centre, les groupes de gauche se coordonnent dans l’optique du budget 2026. Leur intergroupe va préparer des amendements communs.
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Alors que le gouvernement cherche 40 milliards d’économies dans le prochain budget 2026, la ministre des Comptes publics a évoqué un éventuel coup de rabot dans le crédit d’impôt bénéficiant aux services à la personne. Pourraient être concernés : le ménage, le jardinage ou les cours particuliers. Matignon temporise.
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Ce jeudi, à la quasi-unanimité, le Sénat a adopté le texte du député socialiste Elie Califer visant à reconnaître la responsabilité de l’État et à indemniser les victimes du chlordécone. Les élus ultramarins du groupe macroniste ont néanmoins préféré s’abstenir dénonçant « un renoncement.
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Taxe « Zucman » : des élus et des militants rassemblés devant le Sénat pour pousser à son adoption
Plusieurs associations, soutenues par des sénateurs de gauche, se sont données rendez-vous ce jeudi 12 juin devant le Palais du Luxembourg. À quelques heures de l’examen d’un texte sur l’instauration d’une taxe ciblant les ultra-riches, ils entendent mettre la pression sur la droite et les centristes, opposés à cette mesure.
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Dans le Lot-et-Garonne avec Michel Masset