Aquarius : « Il faut que la France ne cède pas», insiste Dupont-Aignan

Aquarius : « Il faut que la France ne cède pas», insiste Dupont-Aignan

Le président de Debout la France a déclaré sur Public Sénat qu’il fallait « absolument éviter que ce bateau puisse accoster ».
Public Sénat

Par Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

L’Aquarius, ce navire humanitaire, fait à nouveau la une de l’actualité. Les ONG qui ont affrété ce bateau, qui transporte actuellement 58 migrants, ont demandé qu’il puisse accoster à Marseille. « Il absolument éviter que ce bateau puisse accoster », a réagi Nicolas Dupont-Aignan, le président de Debout la France sur Public Sénat.

« Il faut bien sûr peut-être sauver les personnes qui sont dedans – on ne va pas les laisser mourir […] On peut tout à fait laisser le bateau accoster pour soigner les personnes. Surtout, qu’elles ne restent pas en France, il faut absolument les rapparier dans leur pays », a-t-il insisté.

Considérant que ces traversées de la Méditerranée « alimentent une inhumanité » par un « appel d’air monstrueux », le candidat aux élections européennes estime que les Européens doivent « envoyer un signal clair : détruire les passeurs ».

Dans la même thématique

Aquarius : « Il faut que la France ne cède pas», insiste Dupont-Aignan
6min

Politique

Agences de l’état : Laurent Marcangeli ne veut pas fixer d’objectif chiffré pour éviter la « formation d’anticorps »

Auditionné par la commission d’enquête du Sénat sur les agences de l’Etat, Laurent Marcangeli est revenu sur la méthode du gouvernement pour « simplifier » l’écosystème des agences et opérateurs de l’Etat. Les plans ministériels devraient être finalisés à la mi-juin et ce travail pourrait donner lieu à un projet de loi, voire une proposition de loi, a annoncé le ministre de la Fonction publique.

Le

Aquarius : « Il faut que la France ne cède pas», insiste Dupont-Aignan
7min

Politique

Présidence des LR : Laurent Wauquiez cible le « en même temps » de Bruno Retailleau

A 10 jours de l’élection du président des Républicains, Laurent Wauquiez laboure les terres de la droite pour aller chercher une victoire face au favori, Bruno Retailleau. Ce mercredi, dans un restaurant du XVe arrondissement de Paris, le chef de file des députés de droite a présenté sa candidature « de rupture » avec le pouvoir en place. Membre du gouvernement, l’élection de Bruno Retailleau à la tête des LR ferait prendre le risque, selon lui, d’une dilution de la droite dans le macronisme.

Le