Arrivée d’Emmanuel Macron à Versailles pour un déjeuner d’avant Congrès
Le chef de l’État Emmanuel Macron est arrivé lundi peu après 13H00 au château de Versailles pour un déjeuner avec des...

Arrivée d’Emmanuel Macron à Versailles pour un déjeuner d’avant Congrès

Le chef de l’État Emmanuel Macron est arrivé lundi peu après 13H00 au château de Versailles pour un déjeuner avec des...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Mis à jour le

Le chef de l’État Emmanuel Macron est arrivé lundi peu après 13H00 au château de Versailles pour un déjeuner avec des responsables parlementaires en amont du Congrès, a constaté une journaliste de l'AFP.

Accueilli sous un soleil un peu voilé à l'arrière du pavillon royal par le président de l'Assemblée nationale François de Rugy, son homologue du Sénat Gérard Larcher et le Premier ministre Édouard Philippe, le président est entré dans le palais sous les honneurs de la Garde républicaine.

Les quatre hommes devaient se rendre à un déjeuner réunissant les membres des bureaux des assemblées et les chefs de groupes parlementaires, avant l'allocution solennelle de M. Macron prévue à 15H00, devant l'Assemblée et le Sénat réunis en Congrès.

Tous les chefs de groupe ne devaient pas prendre part à ce repas, à l'instar du patron des députés LR Christian Jacob et de son homologue au Sénat Bruno Retailleau, qui "a été prévenu hier (dimanche) alors qu'il a des engagements", ou de certains membres des bureaux qui se sont fait excuser. Les parlementaires Insoumis et communistes ayant décidé de boycotter le Congrès, leurs chefs de file devaient aussi être absents.

Après le discours d'Emmanuel Macron, qui devrait durer environ une heure, les groupes parlementaires des deux chambres représentés dans l'hémicycle s'exprimeront pendant 10 minutes à tour de rôle. Mais ce sera seulement une fois le chef de l’État parti, comme le prévoit la Constitution.

Sauf changement de dernière minute, les orateurs seront, dans l'ordre de l'importance numérique des groupes, Richard Ferrand (La République en marche, Assemblée), Bruno Retailleau (Les Républicains, Sénat), Virginie Duby-Muller (LR, Assemblée), Didier Guillaume (PS, Sénat), Marc Fesneau (MoDem, Assemblée).

Ils seront suivis de François Zocchetto (UDI-UC, Sénat), Franck Riester (Les Constructifs, Assemblée), François Patriat (REM, Sénat), Olivier Faure (Nouvelle Gauche, Assemblée), Gilbert Barbier (RDSE, Sénat), et, pour 5 minutes, du sénateur non-inscrit Philippe Adnot.

Partager cet article

Dans la même thématique

Arrivée d’Emmanuel Macron à Versailles pour un déjeuner d’avant Congrès
3min

Politique

Airbnb permet « payer les études de mes enfants », se défend cette propriétaire de Cagnes-sur-Mer

La France fait la part belle à Airbnb. La plateforme d’hébergement est désormais présente dans 80% des communes de l’hexagone. Une inflation des locations de courte durée qui a un impact direct sur la crise du logement. Dans certaines villes, le marché est saturé et le prix des loyers n’a jamais été aussi élevé. Mais pour certains propriétaires qui mettent leur bien en location, c’est aussi un revenu d’appoint utile pour entretenir leur patrimoine comme en témoigne Elodie Fakhfakh, face à trois sénatrices dans l’émission Dialogue Citoyen, présentée par Quentin Calmet.

Le

Documentaire Churchill chef de guerre de Peter Bardelhe
3min

Politique

Et si Winston Churchill était le grand perdant de la victoire des alliés en 1945 ?

L’Histoire a retenu de Winston Churchill un héros triomphant au balcon de Buckingham Palace après la capitulation des nazis. Mais proclamer le signe de la victoire avec la main ne suffit pas, encore faut-il en récupérer les bénéfices. A l’issue de la Seconde Guerre mondiale, la Grande-Bretagne a vu son influence dégringoler. Malgré les efforts du Vieux lion, les deux superpuissances, américaine et soviétique, ont imposé un agenda politique au détriment des intérêts britanniques. Le réalisateur Peter Bardelhe a fait le pari d’expliquer cette partie de poker diplomatique entre les vainqueurs de 1945 dans un documentaire Churchill, chef de guerre diffusé sur Public Sénat.

Le

Paris: Gerard Larcher elu President du Senat
3min

Politique

Échec de la CMP sur le budget : Gérard Larcher dénonce le « manque de considération » de Sébastien Lecornu à l’égard du Sénat

Le gouvernement et la majorité sénatoriale se renvoient la responsabilité de l’échec de la commission mixte paritaire (CMP) sur le projet de loi de finances 2026. Gérard Larcher répond à Sébastien Lecornu en défendant la position du Sénat pendant l’examen du budget et en dénonçant « le manque de considération » et « les mots excessifs » du Premier ministre.

Le