L'ancien président de la République Nicolas Sarkozy, à l'origine de la venue en France des parents du bébé panda du zoo de Beauval à Saint-Aignan (Loir-et-Cher), a rendu visite mercredi à Mini Yuan Zi, moins de deux semaines avant sa marraine, Brigitte Macron.
M. Sarkozy avait obtenu l'arrivée des parents de Mini Yuan Zi, nommé provisoirement ainsi en référence à Yuan Zi, son père biologique, à l'occasion d'une visite en Chine sous son quinquennat.
"Il ne s'agit pas pour moi de mettre en avant ce que j'ai fait ou pas. Il s'agit de rendre hommage à une famille (Delord, propriétaire du zoo, NDLR) assez exceptionnelle et un territoire qui leur a fait confiance. Je viens simplement parce que je suis un sentimental, par amitié", a confié l'ancien chef de l'État.
"On reviendra avec Carla et Giulia (sa fille, NDLR) dans un cadre très privé", a-t-il ajouté.
Arrivé au zoo de Beauval en début d'après-midi, M. Sarkozy, qui a déjeuné avec des élus locaux, est allé voir hippopotames et lions avant de rencontrer à l'abri des regards Mini Yuan Zi, premier panda né en France, le 4 août dernier.
Protocole diplomatique oblige, la marraine de l'animal, la première dame Brigitte Macron, aura l'honneur de la première photo officielle lors de sa visite, programmée le 4 décembre.
En dehors de Chine, seuls 22 parcs zoologiques dans le monde possèdent des pandas.
Le bébé panda "Mini Yuan Zi" sur un écran du zoo de Beauval, le 22 novembre 2017
AFP
La naissance d'un bébé panda est un événement autant diplomatique que médiatique et scientifique. Le prêt de panda à un pays étranger n'est accordé par Pékin qu'à la demande en tête à tête du chef de l'État du pays hôte au président chinois. La Chine récupérera le bébé panda de Beauval d'ici à trois ans, lorsqu'il sera sevré.
Les pandas géants sont sur la liste rouge mondiale des espèces vulnérables établie par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) du fait notamment du réchauffement climatique qui menace leur habitat et leur nourriture.
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