« On dit à nos clients hommes et femmes politiques : "Soyez transparents, empathiques et mobilisés." Je pourrais désormais leur projeter cette déclaration pour leur dire : "Voilà exactement ce qu’il ne faut pas faire" », lâche Florian Silnicki.
Selon lui, le futur ex-garde des Sceaux a eu des « mots excessifs ». Il déplore également qu’il ait eu « recours à la stratégie du complot » : « Ça ne marche jamais, Fillon en a fait les frais il n’en tire aucune leçon ! »
Autre erreur, celle de s’en être pris aux Français. « Ce sont ceux qui sont stigmatisés à travers la désignation des réseaux sociaux », regrette le communicant. Enfin, celui qui a porté le projet de loi pour a confiance dans notre vie démocratique « n’a pas été transparent puisqu’il a dit aux journalistes qui avaient des questions : "Il n’y a rien à voir." »