Coronavirus: « Pas le moment de la polémique mais de la solidarité » dit Mélenchon
Le chef de file de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon a estimé que le moment n'était pas à "la polémique" mais à la ...

Coronavirus: « Pas le moment de la polémique mais de la solidarité » dit Mélenchon

Le chef de file de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon a estimé que le moment n'était pas à "la polémique" mais à la ...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Mis à jour le

Le chef de file de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon a estimé que le moment n'était pas à "la polémique" mais à la "solidarité et la cohésion", jeudi en réagissant à l'allocution télévisée du chef de l'Etat sur le coronavirus.

"Il faut chercher par tous les moyens à se rentre utile" en allant "se porter au secours des plus isolés, affaiblis, abandonnés", a demandé le président du groupe des députés LFI.

"Il y aura bientôt un pic beaucoup plus élevé que ce que nous connaissons", donc "le moment n'est pas celui de la polémique, mais de la solidarité et de la cohésion, du devoir individuel de respecter les consignes", a-t-il ajouté.

Contrairement à "l'égoïsme social qui nous accable", "il faut agir dans les solidarités concrètes", a-t-il aussi affirmé.

Jean-Luc Mélenchon a aussi critiqué Emmanuel Macron: "Il aura fallu une crise, il est vrai mondiale, pour que le président de la République comprenne qu'un modèle de monde est mort et que le soin dû à tous est une priorité, qu'il donne des consignes à la Banque centrale européenne et renonce à des règles budgétaires dont il nous avait accablés au cours des deux années précédentes", a-t-il lancé.

Partager cet article

Dans la même thématique

Coronavirus: « Pas le moment de la polémique mais de la solidarité » dit Mélenchon
2min

Politique

Assassinat du petit frère d’Amine Kessaci : revoir le documentaire sur le combat  contre le, narcotrafic du militant marseillais 

Mehdi, le petit frère d’Amine Kessaci, jeune militant écologiste marseillais, connu pour son combat contre le narcotrafic, a été tué par balles jeudi soir à Marseille. En 2020, c’est l’assassinat de son grand frère Brahim, qui avait conduit le jeune garçon à s’engager en politique. Son parcours est le sujet du documentaire « Marseille, des larmes au combat », Anaïs Merad, à revoir sur Public Sénat.

Le

Coronavirus: « Pas le moment de la polémique mais de la solidarité » dit Mélenchon
3min

Politique

Projet de loi anti-fraudes : « C’est un objet politique qui vise essentiellement à montrer du doigt la fraude sociale »

Invités sur le plateau de Parlement Hebdo, le sénateur Bernard Jomier (Place Publique) et le député Sylvain Berrios (Horizons) sont revenus sur le projet de loi pour lutter contre les fraudes fiscales et sociales, examiné par la Chambre haute depuis mercredi. La majorité rassemblant les élus de la droite et du centre au Sénat ont affermi le texte en commission, y ajoutant une batterie de mesures qui ne fait pas consensus.

Le

13-UNIS : la course en hommage aux 10 ans des attentats de novembre 2015
5min

Politique

Commémoration du 13 novembre : 10 ans après les attentats, la menace terroriste « s’accroît »

Alors que la France rend hommage aux victimes des attentats de Paris de 2015, le ministre de l’Intérieur a appelé les préfets à « renforcer les mesures de vigilance ». Le procureur national antiterroriste (Pnat) Olivier Christen, indique même que la menace terroriste, jihadiste, d’ultradroite ou émanant d’Etats étrangers « s’accroît ».

Le

France Paris Shooting
4min

Politique

Attentats du 13 novembre 2015 : dix ans après, comment les lois antiterroristes ont évolué ?

Dix ans après le traumatisme des attentats du 13 novembre 2015, le cadre juridique permettant la prévention et la répression d’actes terroristes a largement évolué. Après les attaques du Bataclan, des terrasses parisiennes et du Stade de France ayant fait 131 morts et plus de 400 blessés, la France avait basculé dans l’état d’urgence, un régime juridique d’exception qui a influencé les évolutions législatives.

Le