Jean-Baptiste Lemoyne était l’invité politique de l’émission « Bonjour Chez Vous ! », la matinale de Public Sénat, ce mercredi 7 octobre. Le secrétaire d’État chargé du Tourisme, des Français de l’étranger et de la Francophonie a donné les derniers chiffres sur les dossiers des couples binationaux. 300 ont déjà reçu un avis positif et il en reste entre 400 et 500 à examiner. Il a également expliqué comment la crise permettait de repenser le tourisme de demain. Il était au micro d’Oriane Mancini.
Couples binationaux : « 400 à 500 dossiers sont encore en cours d’examen » indique Jean-Baptiste Lemoyne
Jean-Baptiste Lemoyne était l’invité politique de l’émission « Bonjour Chez Vous ! », la matinale de Public Sénat, ce mercredi 7 octobre. Le secrétaire d’État chargé du Tourisme, des Français de l’étranger et de la Francophonie a donné les derniers chiffres sur les dossiers des couples binationaux. 300 ont déjà reçu un avis positif et il en reste entre 400 et 500 à examiner. Il a également expliqué comment la crise permettait de repenser le tourisme de demain. Il était au micro d’Oriane Mancini.
Sophie Pétronin : « Vous savez sur ces sujets d'otages éminemment sensibles je ne donnerai aucune information ce matin. Ce sont des affaires toujours très délicates »
Crise sanitaire : « De façon hebdomadaire, je réunis les professionnels du tourisme. Hier soir avec Bruno Le Maire encore nous étions avec eux pour une audioconférence afin d'être continuellement en retour d'expérience du terrain » « Je salue le professionnalisme des restaurateurs qui ont travaillé sur les protocoles renforcés. Ce sont des éléments qui vont nous permettre de continuer à vivre tout en combattant le virus »
Impact économique : « La situation est telle que hélas, il y aura sûrement ici et là des fermetures. Les professionnels craignent que 20 à 25 % peut-être des établissements soient en grande fragilité » « Le secteur de l’événementiel est très touché. Les foires, les congrès, les salons sont encore entravés. Je souhaite qu'on puisse travailler sur des protocoles qui permettent à cette filière de reprendre une activité » « Je me réjouis que le conseil scientifique ait validé ces protocoles renforcés pour les restaurants, ce qui permet aux Françaises et aux Français de continuer à en profiter. Je leur dis rendez-vous dans les restaurants. C'est aussi un acte citoyen »
Tourisme : « La saison estivale a été plutôt une bonne surprise parce que 94 % des Français qui sont partis en vacances sont restés en France. C'est 15 à 20 points de plus que d'habitude » « Il y a beaucoup de réflexions à l'œuvre pour un tourisme plus durable et aussi pour que les acteurs du tourisme prennent en compte la dimension digitale [...] Cette crise est un moment pour repenser le tourisme tricolore »
Crise sanitaire et couples binationaux : « On a mis en place une procédure pour pouvoir rapprocher les couples ni mariés, ni pacsés. Nous avons reçu 800 dossiers : 300 ont reçu un avis positif, entre 50 et 100 un avis négatif. Il doit en rester encore 400 à 500 en cours d'examen »
Cinq ans après un premier rapport sur le financement de la lutte contre les violences faites aux femmes, les sénateurs Arnaud Bazin et Pierre Barros ont présenté ce jeudi 3 juillet un nouveau rapport sur le sujet. Les deux élus pointent un financement trop faible et une politique publique peu lisible.
La tribune de Bruno Retailleau et deux autres vice-présidents de LR, pour la fin des subventions publiques à l’éolien et au photovoltaïque, vient télescoper les débats sénatoriaux sur la trajectoire énergétique. Elle ouvre également de profondes fractures au sein de LR et du gouvernement.
Avec l’ouverture d’une session extraordinaire, les travaux parlementaires reprendront le 23 septembre au Sénat. Au programme, les textes sur l’aide à mourir et l’accès aux soins palliatifs, mais également la création d’un statut d’élu local.
Invitée de la matinale de Public Sénat, la sénatrice de Vendée, Annick Billon, a défendu les principes de sa proposition de loi visant à permettre aux fleuristes et aux boulangers d’ouvrir le 1er mai. Un texte qui vise à éviter que ces commerçants soient exposés à des amendes en cas d’ouverture.