Débats sur le climat dans les lycées : «J’approuve», réagit Bernard Jomier
Le sénateur, apparenté socialiste, salue la décision du ministre de l’Éducation nationale d’organiser vendredi des débats dans les lycées sur le thème du climat.

Débats sur le climat dans les lycées : «J’approuve», réagit Bernard Jomier

Le sénateur, apparenté socialiste, salue la décision du ministre de l’Éducation nationale d’organiser vendredi des débats dans les lycées sur le thème du climat.
Public Sénat

Par Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Mis à jour le

Une grève mondiale des élèves pour le climat. Et des « débats », organisés de 16 heures à 18 heures dans les lycées de France. L’annonce a été faite ce matin par le ministre de l’Éducation Jean-Michel Blanquer. « C’est surtout une façon de prendre acte du fait que c’est un thème majeur pour les jeunes, que la jeunesse se mobilise sur les questions du climat », a réagi au micro de Public Sénat, le sénateur (apparenté PS) Bernard Jomier.

L’élu parisien se montre satisfait de cette initiative, mais rappelle aux ministres qu’ils sont aux responsabilités. « J’approuve le fait que le ministre de l’Éducation nationale décide que des débats seront organisés dans les établissements autour de la question du climat. Bien sûr, ça n’exonère en rien Jean-Michel Blanquer, qui est membre du gouvernement, des décisions à prendre en la matière ».

Les tergiversations autour de la programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE), dont la présentation en Conseil des ministres a été reportée, n’augurent rien de bon, selon le sénateur. « On voit qu’au niveau français en particulier, il y a une hésitation au sommet de l’État […] C’est l’heure d’être opérationnel ! »

Partager cet article

Dans la même thématique

Paris : Statement on national defence at National Assembly
6min

Politique

Budget : après la loi spéciale, la perspective du recours au 49-3 se dessine

Sébastien Lecornu a acté le recours à une loi spéciale, présentée ce soir en Conseil des ministres. Mais cette solution ne peut être que temporaire, a rappelé le Premier ministre aux représentants des groupes parlementaires qu’il a reçus ce lundi. L’équation impossible demeure : comment faire adopter un budget sans majorité et sans recourir au 49-3 ?

Le