Emmanuel Macron critique les accusations de complot contre François Fillon
A Lyon, le candidat du mouvement En Marche n’a jamais nommé son rival mais a lancé une pique à son égard.

Emmanuel Macron critique les accusations de complot contre François Fillon

A Lyon, le candidat du mouvement En Marche n’a jamais nommé son rival mais a lancé une pique à son égard.
Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Emmanuel Macron organisait son grand meeting, ce samedi à Lyon. L’occasion pour lui de revenir brièvement sur l’affaire politique majeure qui secoue la politique française depuis une dizaine de jours : le PenelopeGate. « Notre responsabilité politique, c’est de ne jamais utiliser à tort les arguments de la transparence pour affaiblir untel ou untel » a-t-il d’abord lancé appelant à la « bienveillance ».

« Mais c’est aussi de ne jamais accepter, lorsque certains voudraient dire qu’il y a un complot, et que la volonté de transparence serait le complot ourdi par un camp. Quand ils font cela, ils mêlent l’indignité aux difficultés qu’ils vivent. Il nous faut toujours une exigence de bienveillance. » Il a, par la suite, critiqué le Front national.

Emmanuel macron tance « les aigreurs » du Front national
02:23

Partager cet article

Dans la même thématique

Emmanuel Macron critique les accusations de complot contre François Fillon
3min

Politique

Brice Teinturier : « Il n'y a plus de débat en France, il y a de l'invective »

Lors de ses vœux, le Président a annoncé son souhait de voir les Français « trancher » sur « des sujets déterminants », ce qui laisse supposer que le chef de l'État envisage un retour au référendum. Néanmoins, les sujets sur lesquels les Français souhaitent trancher sont nombreux, pouvoir d'achat, fin de vie… Le référendum recolle-t-il vraiment les Français à la politique ? Invités de l’émission spéciale Dissolution, un an après, Brice Teinturier, Anne Levade, Laure Salvaing et David Djaïz tentent d'y répondre.

Le

Nancy: Discours Nicolas Mayer Rossignol Congres du Parti Socialiste
9min

Politique

Congrès du PS : LFI ravive les tensions entre Olivier Faure et Nicolas Mayer-Rossignol

La réélection d’Olivier Faure à la tête du PS n’a pas mis fin aux dissensions internes. Nicolas Mayer-Rossignol demande le refus de tout accord avec LFI, y compris au niveau local et en cas de législative partielle, pour rejoindre la direction. Refus du camp du premier secrétaire, qui coupe avec LFI, mais sans rentrer dans ce niveau de précision. Résultat, le parti n’arrive pas à sortir de ses divisions.

Le