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« Éric Zemmour n’a jamais été meilleur que quand il n’était pas candidat »
« Une image plutôt négative, un diagnostic pour la France qui divise », à deux semaines du premier tour de l’élection présidentielle, l’élan de la candidature d’Éric Zemmour semble s’éroder. Crédité de 10 % des intentions de vote au 1er tour, c’est donc loin derrière sa principale concurrente, Marine Le Pen (20 % des intentions de vote selon le même sondage Elabe pour BFM TV et l’Express) que l’ancien polémiste vit les derniers jours de sa campagne. Cette semaine dans « Et Maintenant 2022 ! », Steve Jourdin et ses invités analysent ce plongeon « dans les sondages » du candidat Zemmour.

« Éric Zemmour n’a jamais été meilleur que quand il n’était pas candidat »

« Une image plutôt négative, un diagnostic pour la France qui divise », à deux semaines du premier tour de l’élection présidentielle, l’élan de la candidature d’Éric Zemmour semble s’éroder. Crédité de 10 % des intentions de vote au 1er tour, c’est donc loin derrière sa principale concurrente, Marine Le Pen (20 % des intentions de vote selon le même sondage Elabe pour BFM TV et l’Express) que l’ancien polémiste vit les derniers jours de sa campagne. Cette semaine dans « Et Maintenant 2022 ! », Steve Jourdin et ses invités analysent ce plongeon « dans les sondages » du candidat Zemmour.
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Avec des propositions extrêmes comme la « remigration », Éric Zemmour parle à un électorat déjà conquis, mais à l’heure où de nombreux Français se mobilisent pour l’accueil des réfugiés ukrainiens, cette proposition « tombe mal à propos », affirme la communicante Emilie Zapalski.

Zemmour a vendu « du rêve, de l’illusion, et du fantasme »

Avec cette idée de faire « repartir dans leur pays d’origine » un million d’étrangers en cinq ans, Éric Zemmour franchit-il une étape de plus dans la radicalisation de ses propositions ? En tout cas, comme l’expose Bernard Sananès, le président du cabinet d’études et de conseil Elabe, cet épisode coïncide avec une baisse du candidat dans les sondages.

La théorie d’Emilie Zapalski c’est qu’« Éric Zemmour n’a jamais été meilleur que quand il n’était pas candidat, c’est-à-dire quand il vendait du rêve, de l’illusion, du fantasme : le déclin de la France et le Grand remplacement ».
« Quand on arrive sur les mesures concrètes, il n’y a plus personne » poursuit-elle, c’est quelqu’un qui n’a pas l’air de s’intéresser tellement à l’économie, l’écologie encore moins… « Il n’est pas dans le concret et ça les Français y sont sensibles ».

Retrouvez l’intégralité de l’émission « Et maintenant 2022 » ici.

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