Après la légère baisse de février, le chômage a connu en mars une forte hausse, avec 43.700 demandeurs d'emploi sans activité supplémentaires (+1,3%), s'établissant à 3,51 millions en métropole, a annoncé mercredi le ministère du Travail qui commentait les derniers chiffres du quinquennat Hollande.
Forte hausse du chômage en mars, un premier trimestre sombre
Après la légère baisse de février, le chômage a connu en mars une forte hausse, avec 43.700 demandeurs d'emploi sans activité supplémentaires (+1,3%), s'établissant à 3,51 millions en métropole, a annoncé mercredi le ministère du Travail qui commentait les derniers chiffres du quinquennat Hollande.
Par AFP
Temps de lecture :
1 min
Publié le
Mis à jour le
Cette augmentation est essentiellement due au fait que de nombreux contrats courts n'ont pas été renouvelés, faisant basculer des personnes exerçant une petite activité dans la catégorie des chômeurs sans aucune activité. Elle vient assombrir la tendance sur les trois premiers mois de l'année (+41.000 chômeurs depuis janvier).
Après l’adoption de la loi spéciale pour assurer la continuité de l’Etat, le gouvernement devra reprendre les débats au Parlement, début janvier, pour espérer faire adopter un budget pour l’année 2026. Une opération délicate dans un paysage politique fragmenté et avec un calendrier contraint.
A quelques mois des élections municipales de mars 2026, la Commission nationale des comptes de campagne et de financements politiques s’inquiète des risques de corruption liés au narcotrafic qui pourraient peser sur les scrutins, et les maires une fois élus.
Les promeneurs, touristes ou Parisiens qui déambulent sur le parvis de Notre-Dame, s’imaginent-ils qu’à quelques pas de là se dressait au Moyen Âge, l’une des plus somptueuses résidences d’Europe ? Et surtout, comment, six siècles plus tard, le tout premier palais de nos rois, bâti sur l’île de la Cité, au beau milieu de la capitale, a-t-il pu devenir ce fantôme de l’Histoire ? Dans son documentaire Le mystère du palais disparu, Stéphane Jacques retrace l’enquête menée par un trio de scientifiques spécialistes de la reconstitution numérique.
Suite aux « fausses informations » relayées sur le sujet de la « labellisation » des médias, l’Elysée a décidé de vite les démentir, via une vidéo sur X. Une nouvelle stratégie de communication, à l’œuvre depuis quelques mois, déjà observée lors d’une prétendue prise de cocaïne par Emmanuel Macron. Lui-même « victime » des affres des réseaux avec l’infox Jean-Michel Trogneux, il est d’autant plus sensibilisé à cet enjeu démocratique.