Gérard Longuet estime que Trump ne pourra dénoncer l’accord sur le nucléaire iranien, sans trouver une solution viable
Au micro de « Sénat 360 », Gérard Longuet, sénateur (LR) de la Meuse, analyse les risques possibles de voir Donald Trump dénoncer l’accord sur le nucléaire iranien.

Gérard Longuet estime que Trump ne pourra dénoncer l’accord sur le nucléaire iranien, sans trouver une solution viable

Au micro de « Sénat 360 », Gérard Longuet, sénateur (LR) de la Meuse, analyse les risques possibles de voir Donald Trump dénoncer l’accord sur le nucléaire iranien.
Public Sénat

Par Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Lors d’un échange avec Emmanuel Macron, qu’il reçoit à la Maison Blanche, Donald Trump, a de nouveau critiqué l’accord sur le nucléaire iranien. Accord signé en 2015, entre l’Iran et la communauté internationale. Face aux risques de voir le président américain dénoncer cet accord,  Gérard Longuet Sénateur (LR) de la Meuse et ancien ministre de la Défense, reste impassible. « Il ne peut le dénoncer que s’il a l’esquisse, du commencement, du début d’une solution. Parce que la communauté mondiale lui reprocherait à juste titre, de créer un désordre sans ouvrir de perspectives. Comment le fera-t-il et dans quelles conditions le fera-t-il ? Nul ne le sait à cet instant » poursuit-il.

Et d’ajouter : « La France a été un des artisans de cet accord qui est un accord raisonnable, qui a le mérite d’ouvrir des perspectives pour l’Iran, en contrôlant [son] développement nucléaire et en garantissant le caractère civil de ce développement. »

Partager cet article

Dans la même thématique

Gérard Longuet estime que Trump ne pourra dénoncer l’accord sur le nucléaire iranien, sans trouver une solution viable
3min

Politique

Budget : « Une loi spéciale ne peut pas faire office d’un budget », prévient Amélie de Montchalin

L’examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale se poursuit au Sénat avant un vote prévu demain dans l’après-midi. Invitée de la matinale de Public Sénat, la ministre de l’Action et des Comptes publics, Amélie de Montchalin a rappelé qu’il n’y a pas « d’alternatives au compromis parlementaire » et s’est montrée réticente quant à l’usage d’une loi spéciale pour faire adopter le budget.

Le

8min

Politique

Budget 2026 : une loi spéciale pour sortir de l’impasse ? « Une solution qui permet uniquement de retarder le problème »

La navette parlementaire continue, et le calendrier budgétaire, lui, se resserre. Le rejet du budget par les députés ce week-end laisse peu d’espoir à un accord sur les lois de finances et de financement de la sécurité sociale de voir le jour dans les temps. De quoi contraindre le gouvernement à plancher sur un projet de loi spéciale, faute de recours au 49-3 et aux ordonnances, une solution pour le moins temporaire.

Le