Grogne sociale : les maires ruraux en première ligne

Grogne sociale : les maires ruraux en première ligne

Les élus ruraux veulent peser sur le terrain dans le mouvement des Gilets jaunes. Ils demandent au gouvernement, des réponses au sentiment d’abandon des territoires.  
Public Sénat

Par Public Sénat (Sujet de Sandra Cerqueira)

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Durant la deuxième semaine de décembre, les élus ruraux ont récolté les doléances des habitants. Partout les mêmes revendications : le pouvoir d’achat,  l’injustice fiscale et l’abandon des territoires. Souvent en première ligne face à la colère de leurs administrés, des maires ruraux ont lancé un appel dans le JDD, dimanche dernier.

Dans cette tribune, l’Association des maires ruraux de France appelle les Français « à se fédérer, à ne pas baisser les bras face à la cécité de beaucoup de nos dirigeants ».

Concernant les doléances récoltées, une synthèse sera présentée d’ici la fin de la semaine, au Premier ministre et aux présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat.

Dans la même thématique

Grogne sociale : les maires ruraux en première ligne
6min

Politique

Agences de l’état : Laurent Marcangeli ne veut pas fixer d’objectif chiffré pour éviter la « formation d’anticorps »

Auditionné par la commission d’enquête du Sénat sur les agences de l’Etat, Laurent Marcangeli est revenu sur la méthode du gouvernement pour « simplifier » l’écosystème des agences et opérateurs de l’Etat. Les plans ministériels devraient être finalisés à la mi-juin et ce travail pourrait donner lieu à un projet de loi, voire une proposition de loi, a annoncé le ministre de la Fonction publique.

Le

Grogne sociale : les maires ruraux en première ligne
7min

Politique

Présidence des LR : Laurent Wauquiez cible le « en même temps » de Bruno Retailleau

A 10 jours de l’élection du président des Républicains, Laurent Wauquiez laboure les terres de la droite pour aller chercher une victoire face au favori, Bruno Retailleau. Ce mercredi, dans un restaurant du XVe arrondissement de Paris, le chef de file des députés de droite a présenté sa candidature « de rupture » avec le pouvoir en place. Membre du gouvernement, l’élection de Bruno Retailleau à la tête des LR ferait prendre le risque, selon lui, d’une dilution de la droite dans le macronisme.

Le