Hamon dénonce « une incroyable violence » des propos de Fillon

Hamon dénonce « une incroyable violence » des propos de Fillon

Benoît Hamon a dénoncé mercredi à Trébeurden (Côtes-d'Armor), où il est en déplacement, "une incroyable violence" des propos de...
Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Benoît Hamon a dénoncé mercredi à Trébeurden (Côtes-d'Armor), où il est en déplacement, "une incroyable violence" des propos de François Fillon "à l'égard des magistrats et de la justice", affirmant que c'est "le feuilleton des affaires" le concernant qui "rend médiocre cette campagne présidentielle".

"Parler d'un +assassinat politique+, la réalité, c'est que c'est le feuilleton des affaires qui concernent François Fillon qui rend aujourd'hui médiocre cette campagne présidentielle", a déclaré le candidat PS à la présidentielle.

Dans la même thématique

Hamon dénonce « une incroyable violence » des propos de Fillon
6min

Politique

Agences de l’état : Laurent Marcangeli ne veut pas fixer d’objectif chiffré pour éviter la « formation d’anticorps »

Auditionné par la commission d’enquête du Sénat sur les agences de l’Etat, Laurent Marcangeli est revenu sur la méthode du gouvernement pour « simplifier » l’écosystème des agences et opérateurs de l’Etat. Les plans ministériels devraient être finalisés à la mi-juin et ce travail pourrait donner lieu à un projet de loi, voire une proposition de loi, a annoncé le ministre de la Fonction publique.

Le

Hamon dénonce « une incroyable violence » des propos de Fillon
7min

Politique

Présidence des LR : Laurent Wauquiez cible le « en même temps » de Bruno Retailleau

A 10 jours de l’élection du président des Républicains, Laurent Wauquiez laboure les terres de la droite pour aller chercher une victoire face au favori, Bruno Retailleau. Ce mercredi, dans un restaurant du XVe arrondissement de Paris, le chef de file des députés de droite a présenté sa candidature « de rupture » avec le pouvoir en place. Membre du gouvernement, l’élection de Bruno Retailleau à la tête des LR ferait prendre le risque, selon lui, d’une dilution de la droite dans le macronisme.

Le