Jacques Mézard appelle les radicaux de gauche à rejoindre Emmanuel Macron

Jacques Mézard appelle les radicaux de gauche à rejoindre Emmanuel Macron

Pour le président du groupe RDSE au Sénat, Emmanuel Macron incarne « la révolution du bon sens ».
Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Le président du groupe RDSE au Sénat Jacques Mézard appelle sur Public Sénat les radicaux de centre-gauche à soutenir Emmanuel Macron.

« Je lance un appel à mes amis radicaux, aux femmes et aux hommes de centre-gauche, à rejoindre Emmanuel Macron ». 

Le sénateur du Cantal ne tarit pas d’éloge pour le fondateur du mouvement « En marche ! ». « Emmanuel Macron est celui qui incarne le mieux les valeurs fondamentales de la République », citant notamment le « strict respect » de la loi de 1905 et la liberté économique.

« Son ouvrage s’appelle Révolution. Pour moi c’est la révolution du bon sens. Car aujourd’hui, ce qui paraît révolutionnaire en France est de revenir au bon sens » affirme-t-il. Une « révolution du bon sens » qu’a déjà plusieurs fois prônée un autre candidat à la présidentielle : François Fillon.

 

Dans la même thématique

France Israel Palestinians Campus Protests
6min

Politique

Sciences Po bloqué : la droite sénatoriale dénonce « la pensée totalitaire d’une minorité d’extrême gauche »

La mobilisation de plusieurs dizaines d’étudiants en soutien aux Palestiniens se poursuit à Sciences Po. Après avoir été délogés par les forces de l’ordre dans la nuit de mercredi à jeudi, les étudiants occupaient toujours les lieux ce vendredi. Une action en miroir de celles qui ont lieu sur les campus américains. La droite sénatoriale dénonce l’importation « du wokisme » d’outre Atlantique.

Le

Jacques Mézard appelle les radicaux de gauche à rejoindre Emmanuel Macron
5min

Politique

Européennes 2024 : après le discours d’Emmanuel Macron, Olivier Faure veut saisir l’Arcom au nom de « l’équité » entre les candidats

Le Parti socialiste demande que le discours d’Emmanuel Macron sur l’Europe, prononcé jeudi 25 avril à la Sorbonne, soit décompté des temps de parole et inscrit dans les comptes de campagne de la majorité présidentielle. Pour le patron du PS, invité de Public Sénat, le chef de l’Etat est devenu « candidat à cette élection européenne ».

Le