« Je peux tout à fait être Shéhérazade » ironise Emmanuel Macron

« Je peux tout à fait être Shéhérazade » ironise Emmanuel Macron

Très attendu, le Président de la République a commencé son discours devant le Congrès des maires de France par une boutade sur la longueur de ses allocutions.
Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

 

Mille et une nuits.

« J’ai bien entendu votre défi qui consiste à ne pas m’arrêter tant que je n’ai convaincu » a débuté Emmanuel Macron, en s’adressant à François Baroin, président de l’AMF. « Pour ceux qui ont eu à subir mes discours, je pense que vous prenez un risque certain parce qu’il paraît qu’ils peuvent durer longtemps. En quelques sorte, vous m’infligez le supplice de Shéhérazade, consistant à parler pour ne pas être exécuté mais je peux tout à fait être Shéhérazade » s’est-il amusé.

 

Dans la même thématique

« Je peux tout à fait être Shéhérazade » ironise Emmanuel Macron
6min

Politique

Agences de l’état : Laurent Marcangeli ne veut pas fixer d’objectif chiffré pour éviter la « formation d’anticorps »

Auditionné par la commission d’enquête du Sénat sur les agences de l’Etat, Laurent Marcangeli est revenu sur la méthode du gouvernement pour « simplifier » l’écosystème des agences et opérateurs de l’Etat. Les plans ministériels devraient être finalisés à la mi-juin et ce travail pourrait donner lieu à un projet de loi, voire une proposition de loi, a annoncé le ministre de la Fonction publique.

Le

« Je peux tout à fait être Shéhérazade » ironise Emmanuel Macron
7min

Politique

Présidence des LR : Laurent Wauquiez cible le « en même temps » de Bruno Retailleau

A 10 jours de l’élection du président des Républicains, Laurent Wauquiez laboure les terres de la droite pour aller chercher une victoire face au favori, Bruno Retailleau. Ce mercredi, dans un restaurant du XVe arrondissement de Paris, le chef de file des députés de droite a présenté sa candidature « de rupture » avec le pouvoir en place. Membre du gouvernement, l’élection de Bruno Retailleau à la tête des LR ferait prendre le risque, selon lui, d’une dilution de la droite dans le macronisme.

Le