Jean-François Lamour dément la candidature de Marielle de Sarnez aux législatives à Paris
Le député de Paris dément une information parue dans la presse jeudi, et confirme la candidature de Jean-Pierre Lecoq

Jean-François Lamour dément la candidature de Marielle de Sarnez aux législatives à Paris

Le député de Paris dément une information parue dans la presse jeudi, et confirme la candidature de Jean-Pierre Lecoq
Public Sénat

Par Julie Philippe

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Ce vendredi, Jean-François Lamour, président de la Commission nationale d’investiture l’a confirmé sur le plateau de l’émission Parlement Hebdo : Jean Pierre Lecoq, le maire du 6e arrondissement a bien été investi pour les législatives dans la 11e circonscription de Paris (VIe et XIVe arrondissements).

Il dément donc une information du Parisien diffusée la veille et évoquant l’hypothèse de la candidature de Marielle de Sarnez. Sous la mandature précédente, la députée européenne, présentée sur les listes d’union LR/centre aux dernières municipales dans le VIe arrondissement, avait été élue dans le XIVe arrondissement.

Poursuite des négociations avec les centristes

«Je n'ai aucun mandat pour parler avec le MoDem. François Bayrou hésite beaucoup à partir (en campagne) donc il faut que lui-même se mette en paix avec ce qu'il souhaite faire », a ajouté le député.

Par ailleurs, les négociations avec l’UDI continuent. Le parti centriste souhaiterait une centaine de circonscriptions gagnables, et non la moitié comme ce que proposent les Républicains. Les négociations sont donc ardues, et les difficultés accentuées par le manque d’uniformité du courant centriste. « C’est une famille composée de plusieurs sous-familles, ce n’est pas simple de négocier avec eux ! », a commenté Jean-François Lamour.

Le but de ces alliances ? Permettre à François Fillon d’obtenir « une majorité solide la plus large possible au sein des Républicains, avec un soutien évident d’alliés solides. »

Jean-François Lamour  met également en garde contre d’éventuels ralliements à Emmanuel Macron. « Nous avons des exemples de députés sortant ayant assisté à des meetings de Macron », regrette-t-il. 

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