Jean-Vincent Placé arrêté en état d’ébriété et placé en garde à vue
L'ancien secrétaire d'Etat Jean-Vincent Placé a été placé en garde à vue dans la nuit de mercredi à jeudi après avoir été arrêté...

Jean-Vincent Placé arrêté en état d’ébriété et placé en garde à vue

L'ancien secrétaire d'Etat Jean-Vincent Placé a été placé en garde à vue dans la nuit de mercredi à jeudi après avoir été arrêté...
Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

L'ancien secrétaire d'Etat Jean-Vincent Placé a été placé en garde à vue dans la nuit de mercredi à jeudi après avoir été arrêté en état d'ébriété à la sortie d'un bar à Paris, a-t-on appris de sources policière et judiciaire.

L'ex-sénateur écologiste de l'Essonne était toujours entendu par la police jeudi matin pour des faits d'"outrage sur personne dépositaire de l'autorité publique, insulte à caractère raciale et violence sans incapacité commise sous l'empire de l'ivresse", selon la source judiciaire, confirmant une information de RTL.

De source policière, Jean-Vincent Placé, dont l'alcoolémie a été mesurée à 1,16 g par litre de sang, a insulté la cliente d'un bar du VIe arrondissement de la capitale qui avait refusé de danser avec lui.

Le videur a alors mis à la porte l'ancien sénateur qui, se présentant comme ministre, l'a menacé "de le renvoyer chez lui", a rapporté la source policière.

Alertés, les policiers ont été pris à partie verbalement à leur arrivée par l'ancien responsable politique qui a de nouveau évoqué ses anciennes fonctions avant d'être interpellé.

grd-kap-nal-alh/tmo/shu

Partager cet article

Dans la même thématique

Jean-Vincent Placé arrêté en état d’ébriété et placé en garde à vue
11min

Politique

Budget : début de l’examen au Sénat, qui se voit en « véritable lanceur d’alerte des dégâts budgétaires »

Après le rejet du texte par les députés, les sénateurs examinent à leur tour le budget 2026, marqué par le contexte d’instabilité politique. La majorité sénatoriale de droite et du centre entend aider les entreprises et les collectivités, tout en diminuant les budgets de plusieurs ministères pour renforcer les économies. Le ministre de l’Economie, Roland Lescure, se dit « persuadé qu’un compromis » reste encore « possible », malgré les antagonismes.

Le