Par Public Sénat
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Notre émission Et maintenant 2022 !, qui revient sur les sujets marquants de la semaine, est désormais disponible en podcast.
Écoutez ce qui a mobilisé nos invités.
- Valérie Pécresse et sa folle semaine, après son premier grand meeting, la candidate a-t-elle su convaincre ? Face aux critiques sur la forme de sa prise de parole, est-elle victime de sexisme ?
- À gauche, Christiane Taubira et Anne Hidalgo semblent être dans la tourmente. Très faibles dans les sondages, lâchées par leurs soutiens, quel avenir pour leurs candidatures ? Dans ce contexte, Jean-Luc Mélenchon incarne-t-il le "vote utile" comme l’affirme Ségolene Royal ?
- Depuis le ralliement du député européen Nicolas Bay au parti Reconquête, l’escalade se poursuit entre Marine Le Pen et Eric Zemmour. Au coude à coude dans les sondages, la campagne pour une place au second tour va-t-elle se durcir entre les deux candidats ?
- Emmanuel Macron, bien que toujours en tête des sondages et ayant recueilli les parrainages nécessaires, n’est toujours pas candidat. Que risque-t-il à retarder davantage son entrée en campagne ? Et, au fond, un candidat doit-il vraiment annoncer publiquement sa candidature ?
- Selon une information du journal Libération, le premier débat de la présidentielle aura lieu le 7 mars. Cependant, il ne réunira pas tous les prétendants à la présidence. Faudrait-il rendre le débat obligatoire pour tous les candidats ?
Steve Jourdin fait débattre nos quatre invités, qui sont d’accord… ou pas.
Cette semaine sur le plateau d'Et Maintenant 2022 ! :
- Sophie de Ravinel, Grand reporter au service politique du Figaro
- Pierre Jacquemain, Rédacteur en chef de Regards
- Denis Olivennes, Chef d’entreprise et Essayiste
- Philippe Manière, Président et Co-fondateur de Vae Solis Communications
Vous pourrez retrouver Et maintenant 2022 ! tous les vendredis, en podcast, sur toutes les plateformes. Cliquez sur le lien de votre plateforme préférée pour vous abonner et ne rien manquer.
Politique
Les sénateurs PS défendent une proposition de loi constitutionnelle qui limite strictement toute modification de la loi de 1958 au seul article 89 de la Constitution. Une réaction à un texte du RN sur l’immigration, qui reviendrait à transformer la France en « régime autoritaire, avec des mesures illibérales », selon le sénateur PS Eric Kerrouche.
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Alors que les relations se sont dégradées entre la majorité sénatoriale et le premier ministre, Sébastien Lecornu s’est rendu à la conférence des présidents du Sénat. Si le geste « a été salué par le président Larcher », il reste insuffisant pour gommer les « frustrations » de sénateurs qui apprennent maintenant les concessions faites au PS « en regardant la télé ». Cherchant à « dramatiser », selon l’un des participants, « il a dit que "censure vaudra démission et que ça vaudra dissolution" ».
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Les sénateurs examinent ce jeudi la proposition de loi de Gabriel Attal élevant à titre posthume Alfred Dreyfus au grade de général de brigade. Les sénateurs PS, qui ont déposé un texte identique via Patrick Kanner, ont repris à leur compte le texte de l’ancien premier ministre pour lui permettre d’aller au bout, malgré les « réserves », voire l’opposition « d’Emmanuel Macron », selon le patron des sénateurs PS.
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Reçu ce matin par le Premier ministre pour un point d’étape sur la première partie de la discussion budgétaire à l’Assemblée nationale, François Patriat considère que Sébastien Lecornu a choisi « une voie différente qui permettrait d’aboutir » à un accord sur le PLF, sans recours au 49-3.
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