La journée de solidarité, mode d’emploi
Dans son interview télévisée dimanche soir, Emmanuel Macron a ouvert la porte à une seconde journée non payée de solidarité pour financer la prise en charge des personnes âgées dépendantes. 

La journée de solidarité, mode d’emploi

Dans son interview télévisée dimanche soir, Emmanuel Macron a ouvert la porte à une seconde journée non payée de solidarité pour financer la prise en charge des personnes âgées dépendantes. 
Public Sénat

Par Clément Perrouault

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

« Je ne suis pas contre, je pense que c'est une piste intéressante. Il faut le regarder ». Hier soir, le chef de l’État a ouvert la porte à une seconde journée non payée de solidarité pour financer la prise en charge des personnes âgées dépendantes. 

 La première avait été mise en place par Jean-Pierre Raffarin en 2003, après la canicule meurtrière qui avait frappé la France. D'abord organisée le lundi de Pentecôte, cette Journée de solidarité a été modifiée en 2008 pour proposer davantage de souplesse aux employeurs. Depuis sa mise en place, elle a rapporté plus de 30 milliards à l'État pour aider les personnes âgées et les handicapées.

Partager cet article

Dans la même thématique

SIPA_01234174_000036
4min

Politique

Un gouvernement Lecornu bis ? Vent debout, le camp présidentiel met en garde Emmanuel Macron

L’hypothèse d’une nouvelle nomination de Sébastien Lecornu à Matignon passe mal jusque dans les rangs du bloc central, les soutiens théoriques du chef de l’Etat. « Il faut partager le pouvoir », répète Gabriel Attal, patron de Renaissance. « Un très mauvais signal », ajoute le président de l’UDI, Hervé Marseille. Au pied du mur, le Président se retrouve lâché par les siens.

Le