La popularité de Macron et Philippe stable durant l’été
La popularité d'Emmanuel Macron (34%) et d'Edouard Philippe (38%) est stable sur un mois, selon un sondage BVA diffusé vendredi.<...

La popularité de Macron et Philippe stable durant l’été

La popularité d'Emmanuel Macron (34%) et d'Edouard Philippe (38%) est stable sur un mois, selon un sondage BVA diffusé vendredi.<...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

La popularité d'Emmanuel Macron (34%) et d'Edouard Philippe (38%) est stable sur un mois, selon un sondage BVA diffusé vendredi.

Le chef de l'Etat est exactement au même niveau que fin juillet, avec 66% (=) des personnes interrogées qui ont une mauvaise opinion de lui.

Le Premier ministre perd pour sa part 1 point de bonnes opinions et 62% (+2) des Français interrogés ont une opinion négative de lui, selon cette enquête pour Orange, RTL et La Tribune.

Les jugements critiques à leur encontre progressent en revanche auprès des sympathisants de gauche, notamment du Parti socialiste, qu'il s'agisse d'Emmanuel Macron (-11 points de bonnes opinions chez les proches du PS) ou d'Edouard Philippe (-16).

La popularité du couple exécutif retrouve son niveau d'août 2018, mais la tendance était alors en forte baisse en pleine affaire Benalla.

Si 40% des Français interrogés se disent opposés à l'action du chef de l'Etat et du gouvernement et 16% disent la soutenir, 44% attendent de voir quels en seront les résultats avant de se prononcer.

Nicolas Hulot (40%, -4) reste en tête des personnalités dont les Français souhaitent qu'elles aient plus d'influence, devant Nicolas Sarkozy (27%, -1) et Marine Le Pen (27%, +1). Xavier Bertrand perd 5 points à 25%.

Enquête réalisée en ligne du 21 au 22 août auprès de 966 personnes de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. Marge d'erreur de 1,4 à 3,1 points.

Partager cet article

Dans la même thématique

Paris: Questions au gouvernement Senat
8min

Politique

Budget : les sénateurs LR et le gouvernement Lecornu se renvoient la responsabilité de l’échec

Face à l’incapacité des députés et sénateurs à trouver un accord en commission mixte paritaire, le gouvernement fait porter l’échec sur le dos de la droite sénatoriale. Le PS lui emboîte le pas et dénonce le « dogmatisme » de LR. « Pitoyable », rétorque-t-on à droite, où on accuse le gouvernement d’avoir voulu provoquer « l’échec de la CMP ».

Le

5min

Politique

UE-Mercosur : la signature de l’accord reportée à janvier, un simple sursis ?

Ursula von der Leyen a finalement cédé à la demande de la France et de l’Italie, en reportant la signature du traité commercial entre l’Union européenne et le Mercosur à janvier 2026. Une bref répit pour Emmanuel Macron, sous pression des manifestations agricoles, mais « une énorme opération d’enfumage », selon l’eurodéputée Manon Aubry.

Le