Le maire de Fontainebleau rejoint le parti Agir

Le maire de Fontainebleau rejoint le parti Agir

Le maire de Fontainebleau (Seine-et-Marne), Frédéric Valletoux, autrefois membre des Républicains (LR), a rejoint le parti de...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Le maire de Fontainebleau (Seine-et-Marne), Frédéric Valletoux, autrefois membre des Républicains (LR), a rejoint le parti de centre droit pro-Macron Agir, a-t-il indiqué vendredi dans un communiqué.

"Engagé en politique depuis 2006, je suis et je reste un homme de droite. Celui d'une droite sociale, humaniste et européenne", indique celui qui avait soutenu Alain Juppé à la primaire de la droite en 2016 et qui avait quitté LR dans la foulée.

"Agir est au cœur de la refondation politique à laquelle nous assistons en ce moment, en étant moteur de l'alliance des forces de progrès, face à une extrême droite qui cherche à rassembler autour d'elle un pôle conservateur", poursuit M. Valletoux, qui préside par ailleurs la Fédération hospitalière de France (FHF).

M. Valletoux est également vice-président de la région Île-de-France dirigée par Valérie Pécresse qui a quitté Les Républicains à la suite de la débâcle des élections européennes.

Agir, fondé par d'ex-encartés LR pro-Macron au lendemain de la présidentielle de 2017, compte une dizaine de députés et cinq sénateurs.

Le parti présidé par le ministre de la Culture Franck Riester, lui aussi implanté politiquement en Seine-et-Marne, s'était allié avec LREM pour les élections européennes.

Dans la même thématique

Paris : Speech of Emmanuel Macron at La Sorbonne
7min

Politique

Partage de la dissuasion nucléaire : « Une nouvelle fois, le Président Macron improvise, au détriment de notre crédibilité »

Après un discours particulièrement scruté à la Sorbonne, Emmanuel Macron a répété sa volonté « d’ouvrir le débat » sur la mutualisation des armes nucléaires françaises avec les autres Etats de l’Union européenne. Si le président de la République est resté flou sur ses propositions, ces déclarations ont suscité un rejet quasi unanime au sein de la classe politique française.

Le

Paris : QAG au Senat
5min

Politique

Narcotrafic : « Le garde des Sceaux semble avoir suivi de près nos auditions », note le rapporteur de la commission d’enquête sénatoriale

Nouveau statut de repenti, nouveau parquet national anticriminalité organisée (PNACO), nouveau crime « d’association de malfaiteurs en bande organisée »… Le garde des Sceaux a annoncé plusieurs pistes pour lutter contre le « haut du spectre » du narcotrafic. Des annonces qui s’inspirent largement des travaux de la commission d’enquête sénatoriale qui remettra son rapport le 14 mai.

Le