Politique
Le Collège-Lycée expérimental d’Hérouville-Saint-Clair invente une école différente. Créé en 1982 par une poignée de professeurs, cet établissement du Calvados propose des horaires aménagés pour mieux respecter le rythme de l’enfant.
Le
Par Public Sénat
Temps de lecture :
2 min
Publié le
Mis à jour le
La formule avait été employée par Emmanuel Macron à la mi-mai, avant la formation de la première équipe d’Édouard Philippe. À l’issue du premier conseil des ministres du gouvernement Philippe 2, le porte-parole Christophe Castaner a cité les commentaires d’Emmanuel Macron sur le nouvel exécutif, des propos qui sonnent comme un air de déjà-vu. « Le président a précisé que ce gouvernement avait vocation à durer longtemps. »
Emmanuel Macron « a d’ailleurs dit que cette fierté, ce bonheur, qu’il pouvait avoir à ce moment-là, nous rendrait tous plus collectivement plus exigeants encore », a poursuivi le porte-parole.
Toujours selon Christophe Castarner, le président de la République a souligné que le départ des trois ministres issus du MoDem était « leur choix », et a rappelé la règle édictée par Édouard Philippe selon laquelle un ministre mis en examen doit démissionner. Christophe Castaner a évoqué les « limites » de cette décision :
« Elle a pour conséquence, au fond, de donner l’impression qu’il y aurait une forme de culpabilité. Or, nous savons tous que pour les personnes qui ont fait le choix de quitter le gouvernement, il n’en est rien. [...] Il y a dans cette règle quelque chose de violent et d’injuste [...]
Il nous faut, et je vous y invite collectivement à résister à la tentation de déstabilisation des exécutifs, des institutions – et ça vaut aussi pour toutes institutions – par la mise en cause qui pourrait être une mise en cause automatique. »
Interrogé sur les propos du député Thierry Solère (LR), qui plaide pour une suppression de l'immunité parlementaire, Christophe Castaner a indiqué que le gouvernement ne s’y opposerait pas, si les députés et les sénateurs souhaitaient la retirer. « C'est bien que ce débat soit posé », a-t-il ajouté.
Le parcours d'un roi - Le Maroc de Mohammed VI