Le Pen, Mélenchon et Dupont-Aignan sont « les caniches de Poutine, ils en sont devenus les paillassons » dénonce Claude Malhuret
« Ce sont les seuls qui ne condamnent pas fermement l’invasion » de l’Ukraine, selon Claude Malhuret, président du groupe Les Indépendants du Sénat, « ce sont les seuls à jouer le jeu de Poutine encore en prônant la neutralité de l’Ukraine ».

Le Pen, Mélenchon et Dupont-Aignan sont « les caniches de Poutine, ils en sont devenus les paillassons » dénonce Claude Malhuret

« Ce sont les seuls qui ne condamnent pas fermement l’invasion » de l’Ukraine, selon Claude Malhuret, président du groupe Les Indépendants du Sénat, « ce sont les seuls à jouer le jeu de Poutine encore en prônant la neutralité de l’Ukraine ».
Public Sénat

Par Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Après la prise de parole historique du président ukrainien, Volodymyr Zelensky, devant les sénateurs et les députés, Claude Malhuret, président du groupe Les Indépendants - République et Territoires du Sénat, a salué « un moment de très grande émotion », celui « de voir en direct sur grand écran le Président ukrainien, aussi bien à l’Assemblée nationale qu’au Sénat ». Il retient « son appel à aller plus loin » dans les sanctions et « un mot de son discours : les valeurs valent plus que les bénéfices ».

Alors que Marine Le Pen, Jean-Luc Mélenchon et Nicolas Dupont-Aignan ont pu être attaqués sur leurs prises de position vis-à-vis de Vladimir Poutine, Claude Malhuret dénonce leur positionnement. « Ça fait des années que ces trois personnes sont les caniches de Poutine, il n’y pas d’autres mots, et depuis le début de la guerre, ils en sont devenus les paillassons. Ce sont les seuls qui ne condamnent pas fermement l’invasion, ce sont les seuls qui essaient de faire en sorte qu’on n’aide pas l’Ukraine, qu’on n’envoie pas d’armes à l’Ukraine, qu’on ne prenne pas les sanctions. Ce sont les seuls à jouer le jeu de Poutine encore en prônant la neutralité de l’Ukraine et de la situation telle qu’elle est aujourd’hui, l’annexion de la Crimée et du Donbass », dénonce le sénateur de l’Allier, membre d’Horizons, le parti d’Edouard Philippe.

« Bien sûr, ils sont obligés de condamner l’invasion parce que tout le monde la condamne et de condamner les horreurs et les atrocités. Mais ils n’ont pas changé d’un poil », insiste le président du groupe Les Indépendants.

Partager cet article

Dans la même thématique

Le Pen, Mélenchon et Dupont-Aignan sont « les caniches de Poutine, ils en sont devenus les paillassons » dénonce Claude Malhuret
2min

Politique

Travail le 1er mai des boulangers et des fleuristes : « Nous souhaitons évidemment protéger ce 1er mai, mais par contre nous souhaitons clarifier la situation »

Invitée de la matinale de Public Sénat, la sénatrice de Vendée, Annick Billon, a défendu les principes de sa proposition de loi visant à permettre aux fleuristes et aux boulangers d’ouvrir le 1er mai. Un texte qui vise à éviter que ces commerçants soient exposés à des amendes en cas d’ouverture.

Le

Le Pen, Mélenchon et Dupont-Aignan sont « les caniches de Poutine, ils en sont devenus les paillassons » dénonce Claude Malhuret
3min

Politique

Conclave sur les retraites : « La réalité du travail fait que l’on ne peut pas tous travailler forcément jusqu’au même âge », souligne Laurent Berger

Ce jeudi, Laurent Berger, directeur de l’Institut Mutualiste de l’Environnement et de la Solidarité de Crédit Mutuel Alliance et Benoit Bazin, PDG du groupe Saint Gobain, étaient les invités de la matinale de Public Sénat. Auteurs du livre « Voies de passage », ils sont revenus sur le conclave sur les retraites qui s’est achevé la semaine dernière.

Le

Loi Duplomb : les sénateurs PS déposeront un recours au Conseil constitutionnel
2min

Politique

Loi Duplomb : les sénateurs de gauche déposeront un recours au Conseil constitutionnel

Dans la foulée de l’adoption de la proposition visant à lever les contraintes de l’exercice du métier d’agriculteur », les socialistes, les écologistes et les communistes du Sénat veulent contester devant les Sages les dispositions du texte, contraires selon eux aux principes de la Charte de l’environnement et à l’intérêt général.

Le