Le renouvellement en politique une idée ancienne

Le renouvellement en politique une idée ancienne

En 1974, Valéry Giscard d’Estaing  est élu à 52 ans, président de la République sur une promesse celle du changement de génération. Un renouvellement nécessaire souvent mis en avant par ceux qui prétendent au pouvoir. Oui mais voilà, une fois élu, on y reste. Une tentation qui sied mal aux tenants du « dégagisme ». De l’élection de Gérard Collomb à la faveur de l’alternance en 1981 à celle de Jean-Luc Mélenchon comme jeune sénateur, en 1986 retour sur ces années où ces hommes politiques ont commencé une longue carrière.
Public Sénat

Temps de lecture :

0 min

Publié le

Mis à jour le

Dans la même thématique

Macron doigt 2
10min

Politique

Le référendum, l’arme d’Emmanuel Macron pour « secouer le système » ?

Le chef de l’Etat sera l’invité de TF1 le 13 mai. Il pourrait annoncer un référendum avec plusieurs questions. Une façon pour Emmanuel Macron de « dénouer » le blocage, salue le député macroniste Pieyre-Alexandre Anglade. La réorganisation territoriale pourrait être au menu. « C’est excellent de réfléchir au millefeuille territorial », salue le sénateur François Patriat, « les Français pensent qu’il y a trop de collectivités ».

Le

SIPA_01203761_000031
4min

Politique

Interdiction du démarchage téléphonique : accord des députés et sénateurs sur la proposition de loi de lutte contre les fraudes aux aides publiques

En commission mixte paritaire, ce mardi, les parlementaires ont trouvé une version de compromis sur le texte sur la proposition de loi contre toutes les fraudes aux aides publiques. Un texte qui s’attaque principalement aux fraudes dans les secteurs de la rénovation et de l’efficacité énergétiques et interdit également le démarchage téléphonique sans consentement.

Le

Assemblee Nationale, CMP, Reforme retraites
3min

Politique

Justice des mineurs : députés et sénateurs trouvent un accord en commission mixte paritaire

Ce mardi, la proposition de loi de l’ancien Premier ministre Gabriel Attal, visant à durcir la justice des mineurs, a trouvé une issue favorable en commission mixte paritaire (CMP). Si une version de compromis a été actée entre les sept sénateurs et les sept députés, le texte est loin de faire consensus. La gauche du Sénat compte saisir le Conseil constitutionnel.

Le