Législatives: accord en vue entre LR et UDI

Législatives: accord en vue entre LR et UDI

Le président du groupe UDI à l'Assemblée Philippe Vigier a annoncé mardi que l'UDI et Les Républicains étaient "proches" d'un...
Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Le président du groupe UDI à l'Assemblée Philippe Vigier a annoncé mardi que l'UDI et Les Républicains étaient "proches" d'un accord sur les législatives qui permettrait aux centristes d'avoir 70 à 75 sièges au sein d'une future majorité de droite.

"On a bien avancé, on a bien travaillé et on va se revoir cette semaine pour aboutir", a-t-il déclaré lors d'un point presse.

"On va atteindre l'objectif que je vous avais annoncé il y a deux semaines, environ 70-75 centristes (dans des circonscriptions gagnables) sur environ 120 candidatures", a-t-il affirmé.

Le groupe UDI compte actuellement 27 membres.

Dans la même thématique

Législatives: accord en vue entre LR et UDI
6min

Politique

Agences de l’état : Laurent Marcangeli ne veut pas fixer d’objectif chiffré pour éviter la « formation d’anticorps »

Auditionné par la commission d’enquête du Sénat sur les agences de l’Etat, Laurent Marcangeli est revenu sur la méthode du gouvernement pour « simplifier » l’écosystème des agences et opérateurs de l’Etat. Les plans ministériels devraient être finalisés à la mi-juin et ce travail pourrait donner lieu à un projet de loi, voire une proposition de loi, a annoncé le ministre de la Fonction publique.

Le

Législatives: accord en vue entre LR et UDI
7min

Politique

Présidence des LR : Laurent Wauquiez cible le « en même temps » de Bruno Retailleau

A 10 jours de l’élection du président des Républicains, Laurent Wauquiez laboure les terres de la droite pour aller chercher une victoire face au favori, Bruno Retailleau. Ce mercredi, dans un restaurant du XVe arrondissement de Paris, le chef de file des députés de droite a présenté sa candidature « de rupture » avec le pouvoir en place. Membre du gouvernement, l’élection de Bruno Retailleau à la tête des LR ferait prendre le risque, selon lui, d’une dilution de la droite dans le macronisme.

Le