Le député PS Daniel Vaillant a finalement annoncé jeudi qu'il briguerait sa succession dans la 17ème circonscription de Paris, après y avoir renoncé la veille.
M. Vaillant, âgé de 67 ans, avait d'abord invoqué la possibilité d'une candidature de La République En Marche face à lui pour justifier son retrait, après trois mandats.
"Je pense qu'il est de mon devoir de laisser une chance au rassemblement de l'emporter sur les divisions, déjà très présentes dans cette circonscription", avait-il indiqué.
Mais selon M. Vaillant jeudi, la liste de "La République En Marche ne prévoit aucun candidat sur la 17ème circonscription".
Le député socialiste Daniel Vaillant lors d'une réunion au siège du PS à Paris, le 14 décembre 2015
AFP
Mercredi soir, Jean-Paul Delevoye, "M. Investitures" du mouvement d'Emmanuel Macron, avait indiqué à l'AFP qu'une éventuelle investiture du parti présidentiel était encore "en débat".
"En conséquence et comme je m'y étais engagé, je dépose ma candidature dès aujourd'hui comme candidat Majorité Présidentielle", écrit dans un communiqué jeudi l'ancien ministre de l'Intérieur.
Élu depuis 2002 dans cette circonscription, M. Vaillant n'avait pas obtenu l'investiture PS, dévolue à Colombe Brossel, adjointe d'Anne Hidalgo en charge de la Sécurité.
Auditionné par la commission d’enquête du Sénat sur les agences de l’Etat, Laurent Marcangeli est revenu sur la méthode du gouvernement pour « simplifier » l’écosystème des agences et opérateurs de l’Etat. Les plans ministériels devraient être finalisés à la mi-juin et ce travail pourrait donner lieu à un projet de loi, voire une proposition de loi, a annoncé le ministre de la Fonction publique.
A 10 jours de l’élection du président des Républicains, Laurent Wauquiez laboure les terres de la droite pour aller chercher une victoire face au favori, Bruno Retailleau. Ce mercredi, dans un restaurant du XVe arrondissement de Paris, le chef de file des députés de droite a présenté sa candidature « de rupture » avec le pouvoir en place. Membre du gouvernement, l’élection de Bruno Retailleau à la tête des LR ferait prendre le risque, selon lui, d’une dilution de la droite dans le macronisme.
Le président du groupe socialiste au Sénat, Patrick Kanner, a interpellé ce 7 mai, lors des questions au gouvernement, le Premier ministre François Bayrou sur les projets de référendum évoqués ces derniers jours par l'exécutif.
Réagissant à la publication d’un livre à charge sur le fonctionnement de la France insoumise, Patrick Kanner, le président du groupe PS au Sénat, épingle le rôle joué par Jean-Luc Mélenchon. Il appelle la gauche à tirer les enseignements de cet ouvrage.