Législatives: la « priorité » de Laurent (PCF) est d’éviter « la dispersion »
Pierre Laurent, qui soutient la candidature de Jean-Luc Mélenchon pour la présidentielle, a assuré jeudi que sa "priorité" pour...

Législatives: la « priorité » de Laurent (PCF) est d’éviter « la dispersion »

Pierre Laurent, qui soutient la candidature de Jean-Luc Mélenchon pour la présidentielle, a assuré jeudi que sa "priorité" pour...
Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Pierre Laurent, qui soutient la candidature de Jean-Luc Mélenchon pour la présidentielle, a assuré jeudi que sa "priorité" pour les législatives était d'éviter la "dispersion", tout en indiquant que le PCF avait "la capacité" de présenter des candidats dans toutes les circonscriptions.

"Les discussions (pour les législatives, ndlr) sont difficiles aujourd'hui, mais elles ne sont pas impossibles", a déclaré le secrétaire national du PCF sur RFI.

"Le parti communiste a la capacité de présenter des candidats dans l’ensemble des circonscriptions", a-t-il affirmé. "Mais évidemment partout où c’est possible, nous voulons qu’elles convergent avec les forces, notamment de Jean-Luc Mélenchon, mais d’autres forces qui travaillent avec nous", a-t-il ajouté.

"La priorité pour moi, et c’est à cela que nous allons travailler, c’est que à chaque fois que dans une circonscription, un candidat communiste, un candidat du Front de gauche, un candidat de la France insoumise peut être élu, là il ne faut pas qu’il y ait de dispersion", a-t-il souligné. "Sinon, nous allons nous tirer ensemble une balle dans le pied".

Le PCF doit décider samedi ses premières investitures pour les législatives.

Partager cet article

Dans la même thématique

7min

Politique

Vote de confiance : « François Bayrou, qui a construit sa carrière politique sur le dialogue, est rattrapé par ses propres contradictions »

Soucieux de faire passer un budget avec 44 milliards d’euros d’économies, François Bayrou tente un mouvement inédit sous la Ve République, en demandant un vote de confiance près de neuf mois après sa nomination et sans majorité. Ses faibles chances de succès laissent désormais planer le spectre d’une nouvelle dissolution.

Le