Macron dénonce les projets « fous » de ses adversaires
Emmanuel Macron, porté par des sondages favorables, a défendu vendredi à Souillac (Lot) son "projet de conquête" en vue de la...

Macron dénonce les projets « fous » de ses adversaires

Emmanuel Macron, porté par des sondages favorables, a défendu vendredi à Souillac (Lot) son "projet de conquête" en vue de la...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Emmanuel Macron, porté par des sondages favorables, a défendu vendredi à Souillac (Lot) son "projet de conquête" en vue de la présidentielle, dénonçant les "projets fous" de ses principaux adversaires.

"La France est un pays dont la vocation profonde n'est pas de se rétrécir sur lui-même, n'est pas de trahir ses valeurs, n'est pas d'avoir peur de l'avenir", a-t-il lancé devant 500 sympathisants en défendant "un esprit de conquête d'un optimisme farouche".

"Ce que je vous propose, ce n'est pas un projet fou qui a déjà intégré la défaite face au travail", a-t-il dit dans une allusion au socialiste Benoît Hamon.

"Ce n'est pas un projet fou qui consiste à sortir de l'Euro, de toutes les contraintes, à s'affranchir des réalités de la vie pour proposer la haine de l'autre comme projet politique", a-t-il poursuivi, en référence à la candidate du Front national Marine Le Pen.

"Ce n'est pas un projet fou qui consiste à vous expliquer tout ce que devez faire et à vous rétablir malgré vous", a-t-il encore déclaré, sans référence claire à un de ses adversaires.

Il a défendu son projet, celui d'un "homme qui veut présider pour vous donner le pouvoir", pour "tenir un cap" et "protéger le pays dans des temps difficiles".

Il a de nouveau expliqué les grandes lignes de son projet économique et annoncé que son mouvement En Marche! avait "passé le cap des 200.000 adhérents", "ce qui fait de nous une vraie force politique".

Un peu plus tôt dans l'après-midi, il s'était rendu dans le village touristique de Rocamadour, accompagné de son épouse Brigitte, pour rencontrer les élus locaux et visiter la "chapelle miraculeuse" du Sanctuaire de Notre-Dame de Rocamadour.

Partager cet article

Dans la même thématique

Paris : session of questions to the government at the Senate
9min

Politique

Face à un « budget cryptosocialiste », la majorité sénatoriale veut « éradiquer tous les impôts » votés par les députés

Ils vont « nettoyer » le texte, le « décaper ». Les sénateurs de droite et du centre attendent de pied ferme le budget 2026 et le budget de la Sécu. Après avoir eu le sentiment d’être mis à l’écart des discussions, ils entendent prendre leur revanche, ou du moins défendre leur version du budget : plus d’économies et faire table rase des impôts votés par les députés.

Le

Marseille: Amine Kessaci candidate
4min

Politique

Assassinat du frère d’Amine Kessaci : le militant écologiste engagé contre le narcotrafic était « sous protection policière et exfiltré de Marseille depuis un mois »

Le petit frère d’Amine Kessaci, jeune militant écologiste marseillais, connu pour son combat contre le narcotrafic, a été tué par balles jeudi soir à Marseille. L’hypothèse d’un assassinat d’avertissement est privilégiée et pourrait faire basculer la France un peu plus vers ce qui définit les narco Etats. C’est ce que craignaient les sénateurs de la commission d’enquête sur le narcotrafic. Le sénateur écologiste de Marseille Guy Benarroche, proche d’Amine Kessaci a pu s’entretenir avec lui, ce matin.

Le

Macron dénonce les projets « fous » de ses adversaires
2min

Politique

Assassinat du petit frère d’Amine Kessaci : revoir le documentaire sur le combat contre le narcotrafic du militant marseillais 

Mehdi, le petit frère d’Amine Kessaci, jeune militant écologiste marseillais, connu pour son combat contre le narcotrafic, a été tué par balles jeudi soir à Marseille. En 2020, c’est l’assassinat de son grand frère Brahim, qui avait conduit le jeune garçon à s’engager en politique. Son parcours est le sujet du documentaire « Marseille, des larmes au combat », Anaïs Merad, à revoir sur Public Sénat.

Le

Macron dénonce les projets « fous » de ses adversaires
3min

Politique

Projet de loi anti-fraudes : « C’est un objet politique qui vise essentiellement à montrer du doigt la fraude sociale »

Invités sur le plateau de Parlement Hebdo, le sénateur Bernard Jomier (Place Publique) et le député Sylvain Berrios (Horizons) sont revenus sur le projet de loi pour lutter contre les fraudes fiscales et sociales, examiné par la Chambre haute depuis mercredi. La majorité rassemblant les élus de la droite et du centre au Sénat ont affermi le texte en commission, y ajoutant une batterie de mesures qui ne fait pas consensus.

Le