Macron « entend les colères », réfute la « coagulation » des « mécontentements » sociaux 
Emmanuel Macron a estimé dimanche que les différents mouvements sociaux en cours ne correspondaient "pas à une coagulation" des ...

Macron « entend les colères », réfute la « coagulation » des « mécontentements » sociaux 

Emmanuel Macron a estimé dimanche que les différents mouvements sociaux en cours ne correspondaient "pas à une coagulation" des ...
Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Emmanuel Macron a estimé dimanche que les différents mouvements sociaux en cours ne correspondaient "pas à une coagulation" des "mécontentements", qu'il a assuré par ailleurs "entendre" et "respecter".

"Je conteste l'orientation de votre question qui viserait à voir une logique ou à vouloir créer une coagulation dans ces mécontentements. Il n'y en a pas tant que cela. Le mécontentement des cheminots a peu à voir avec le mal-être profondément légitime à l'hôpital qui dure depuis des années...", a répondu le chef de l'Etat sur BFMTV/RMC/Mediapart.

"J'entends toutes les colères", a-t-il ajouté, citant celle des cheminots, en grève en pointillés depuis début avril. "C'est une colère que je comprends, que je respecte mais qui est liée à une décision que nous prenons, que j'assume, une réforme que nous mènerons jusqu'au bout", a-t-il développé.

Il a rappelé que s'il avait "dès le jour de (son) investiture" évoqué le besoin de "réconcilier le pays", ça ne se ferait "pas du jour au lendemain".

Partager cet article

Dans la même thématique

Macron « entend les colères », réfute la « coagulation » des « mécontentements » sociaux 
11min

Politique

Budget : début de l’examen au Sénat, qui se voit en « véritable lanceur d’alerte des dégâts budgétaires »

Après le rejet du texte par les députés, les sénateurs examinent à leur tour le budget 2026, marqué par le contexte d’instabilité politique. La majorité sénatoriale de droite et du centre entend aider les entreprises et les collectivités, tout en diminuant les budgets de plusieurs ministères pour renforcer les économies. Le ministre de l’Economie, Roland Lescure, se dit « persuadé qu’un compromis » reste encore « possible », malgré les antagonismes.

Le