Politique
Lors du conseil des Ministres de ce mercredi 19 novembre, le chef de l’État a rappelé le combat contre le narcotrafic « entamé depuis plusieurs années » par le gouvernement.
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Par Public Sénat
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Emmanuel Macron a estimé dimanche que les différents mouvements sociaux en cours ne correspondaient "pas à une coagulation" des "mécontentements", qu'il a assuré par ailleurs "entendre" et "respecter".
"Je conteste l'orientation de votre question qui viserait à voir une logique ou à vouloir créer une coagulation dans ces mécontentements. Il n'y en a pas tant que cela. Le mécontentement des cheminots a peu à voir avec le mal-être profondément légitime à l'hôpital qui dure depuis des années...", a répondu le chef de l'Etat sur BFMTV/RMC/Mediapart.
"J'entends toutes les colères", a-t-il ajouté, citant celle des cheminots, en grève en pointillés depuis début avril. "C'est une colère que je comprends, que je respecte mais qui est liée à une décision que nous prenons, que j'assume, une réforme que nous mènerons jusqu'au bout", a-t-il développé.
Il a rappelé que s'il avait "dès le jour de (son) investiture" évoqué le besoin de "réconcilier le pays", ça ne se ferait "pas du jour au lendemain".
L'intégrale du mercredi 19 novembre