Macron « est à la hauteur de la fonction » et de sa « mission historique », selon Bayrou
Emmanuel Macron "est à la hauteur de la fonction" présidentielle "et de la mission historique qui est la sienne", a assuré...

Macron « est à la hauteur de la fonction » et de sa « mission historique », selon Bayrou

Emmanuel Macron "est à la hauteur de la fonction" présidentielle "et de la mission historique qui est la sienne", a assuré...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Mis à jour le

Emmanuel Macron "est à la hauteur de la fonction" présidentielle "et de la mission historique qui est la sienne", a assuré mercredi le président du MoDem François Bayrou, soulignant la volonté du chef de l'Etat "d'aller au bout de questions sans réponse depuis des années".

"Je vous dis avec certitude que cet homme-là est à la hauteur de la fonction et de la mission historique qui est la sienne aujourd'hui", a déclaré M. Bayrou sur CNews. "Historique parce qu'on ne pouvait pas rester dans cette espèce d'impuissance généralisée que tout le monde constatait, sur laquelle tout le monde pleurait et devant laquelle tout le monde baissait les bras".

Disant ne voir "aucune arrogance" chez le chef de l'Etat, il a estimé qu'"il y a de la part du gouvernement et du président de la République la volonté d'aller au bout de questions qui étaient sans réponse depuis des années".

"Il y a une chose qui doit être pour le gouvernement une exigence de tous les jours, c'est que cet ensemble de décisions (...) de changements (...) de réformes portent en même temps un projet social, un projet pour ceux qui n'ont pas la chance d'être du bon côté de la barrière", a souligné le président du MoDem, jugeant qu'au sein de la majorité, son parti est "présent", "écouté" et "solide".

Le maire de Pau a également considéré qu'Emmanuel Macron avait "une mission historique à l'égard du monde".

Au niveau international, "la France a un poids mais ce poids n'était pas entendu depuis des années", a-t-il affirmé. "Ce qui est nouveau et ce qui est fort dans ce qui se passe aujourd'hui sur la scène du monde, et à Washington à cette heure-ci (où le président français est en visite d'Etat, ndlr), c'est qu'on entend une voix différente de la part de la France (...) une voix médiatrice".

"Vous avez une voix qui défend non pas l'intérêt égoïste de la France, non pas une vision de domination de la France, mais (...) une certaine idée d'un nouvel ordre du monde, une certaine idée de l'intérêt général du monde", a-t-il dit.

Partager cet article

Dans la même thématique

Elections legislatives, premier tour dans le gard.
4min

Politique

Municipales 2026 : la parité bouscule les petites communes

La parité s’impose désormais dans les communes de moins de 1 000 habitants. À partir des élections municipales de 2026, les listes devront respecter une stricte alternance femmes-hommes, et le panachage sera interdit. Une réforme qui, entre volonté d’égalité et réalités locales, divise fortement les élus.

Le

6min

Politique

Déploiement d’un service militaire volontaire ? « Le gouvernement s’engage dans cette voie-là », selon Hélène Conway-Mouret

Les propos du chef d’Etat-major des Armées, face au congrès des maires de France, ont fait réagir la classe politique, alors qu’il a appelé les édiles à « préparer leurs populations », à un possible conflit dans quelques années. Son discours a aussi réactivé l’idée d’un déploiement d’un nouveau service volontaire par Emmanuel Macron.

Le

Macron « est à la hauteur de la fonction » et de sa « mission historique », selon Bayrou
6min

Politique

Budget de la Sécu : le Sénat supprime la hausse de la CSG sur le capital, fruit du compromis avec les députés PS

Comme annoncé, la majorité sénatoriale LR et centriste a supprimé la hausse de la CSG sur le capital votée par les députés, censée rapporter 2,66 milliards d’euros. « Vous défendez le capital, le profit, de manière entêtée », a dénoncé le sénateur PS, Yan Chantrel. La rapporteure, la centriste Elisabeth Doineau, a voulu en rester aux « mesures que la majorité sénatoriale avait défendues en juillet auprès de François Bayrou ».

Le