Maël de Calan contre la PMA pour toutes : « J’estime qu’un enfant doit être élevé par un père et une mère »

Maël de Calan contre la PMA pour toutes : « J’estime qu’un enfant doit être élevé par un père et une mère »

Maël de Calan, candidat à la présidence des Républicains, était l’invité de Territoires d’Infos vendredi matin sur Public Sénat et les Indés Radio, en partenariat avec la PQR. Interrogé sur l’annonce du gouvernement d’ouvrir la PMA à toutes les femmes en 2018, conformément à une promesse de campagne d’Emmanuel Macron, il s’est dit opposé à […]
Public Sénat

Par Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Maël de Calan, candidat à la présidence des Républicains, était l’invité de Territoires d’Infos vendredi matin sur Public Sénat et les Indés Radio, en partenariat avec la PQR. Interrogé sur l’annonce du gouvernement d’ouvrir la PMA à toutes les femmes en 2018, conformément à une promesse de campagne d’Emmanuel Macron, il s’est dit opposé à cette mesure.

« Je ne comprends pourquoi le gouvernement décide de fracturer à nouveau la société française sur un sujet qui divise profondément les Français et les familles. Ça ne correspond pas à une demande sociale très forte. J’y suis opposé à titre personnel car j’estime qu’un enfant doit être élevé par un père et une mère » affirme l’ancien porte-parole d’Alain Juppé lors de la primaire de la droite et du centre.

Partager cet article

Dans la même thématique

Maël de Calan contre la PMA pour toutes : « J’estime qu’un enfant doit être élevé par un père et une mère »
11min

Politique

Budget : début de l’examen au Sénat, qui se voit en « véritable lanceur d’alerte des dégâts budgétaires »

Après le rejet du texte par les députés, les sénateurs examinent à leur tour le budget 2026, marqué par le contexte d’instabilité politique. La majorité sénatoriale de droite et du centre entend aider les entreprises et les collectivités, tout en diminuant les budgets de plusieurs ministères pour renforcer les économies. Le ministre de l’Economie, Roland Lescure, se dit « persuadé qu’un compromis » reste encore « possible », malgré les antagonismes.

Le