Maire, le plus beau « métier » du monde ?
Ils sont les élus les plus proches des citoyens. Si les 36 000 maires de France échappent à la défiance généralisée, entre baisse de dotations et demandes accrues des habitants, leur quotidien se complique chaque jour un peu plus. Qui sont ces maires qui portent leur ville à bout de bras ? Leur mandat est-il toujours le plus beau métier du monde ? Rencontre avec deux maires, que tout oppose.

Maire, le plus beau « métier » du monde ?

Ils sont les élus les plus proches des citoyens. Si les 36 000 maires de France échappent à la défiance généralisée, entre baisse de dotations et demandes accrues des habitants, leur quotidien se complique chaque jour un peu plus. Qui sont ces maires qui portent leur ville à bout de bras ? Leur mandat est-il toujours le plus beau métier du monde ? Rencontre avec deux maires, que tout oppose.
Public Sénat

Par Priscillia Abereko

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Selon un dernier sondage les maires sont avec 61% d'opinions favorables les élus dans lesquels les Français ont le plus confiance.

Pourtant, entre baisse des dotations décidées par l'État depuis plusieurs années et demandes accrues des habitants, leur quotidien se complique chaque jour un peu plus.

Qui sont ces élus ? Quelles sont leurs difficultés ? De quoi est fait leur quotidien ? Et finalement maire, est-ce toujours le plus beau « métier » du monde ?
« Ma voix compte », le magazine citoyen de Public Sénat est allé à la rencontre de Mohammed, un jeune maire et chef d’entreprise de 32 ans, Jean-Louis et ses 40 années au chevet de ses administrés et René un maire qui est retourné sur les bancs de l’école pour se former à la célébration du Pacs.

Ces élus locaux, qu'ils soient novices ou plus expérimentés, de banlieue ou élus de territoires plus ruraux, portent leur ville souvent avec enthousiasme malgré les difficultés.

 

Partager cet article

Dans la même thématique

académie médecine
4min

Société

Fin de vie : l’Académie de médecine défend une « aide à mourir » comme démarche d’exception devant le Sénat

Auditionnées mercredi 2 juillet par la commission des affaires sociales du Sénat, Claudine Esper et Élisabeth Elefant, représentantes du comité d’éthique de l’Académie nationale de médecine, ont livré une analyse nuancée des propositions de loi sur l’aide à mourir et l’accès aux soins palliatifs. Si elles reconnaissent l’évolution nécessaire du cadre législatif, elles plaident pour un encadrement strict et soulignent les limites éthiques à ne pas franchir.

Le

controle ok
6min

Société

La France condamnée pour contrôle au faciès par la CEDH : « Que faut-il pour que la France prenne en main le sujet ? » s’indigne Corinne Narassiguin

La Cour européenne des droits de l’homme a condamné la France pour un contrôle d’identité discriminatoire, une première. « Tout ça ne peut pas continuer », dénonce la sénatrice PS Corinne Narassiguin, auteure d’une proposition de loi sur le sujet. Elle pointe le « ciblage » sur les sans-papiers, qui a été demandé à la police par le ministre Bruno Retailleau. « Ça, c’est du contrôle au faciès », dénonce la sénatrice de Seine-Saint-Denis.

Le

Maire, le plus beau « métier » du monde ?
4min

Société

Egalité femmes-hommes : « Si nous avons une réduction de moyens, je ne serai pas en mesure de réaliser le travail qui m’est demandé », alerte Bérangère Couillard

Auditionnée par la délégation aux droits des femmes du Sénat, la présidente du Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes, Bérangère Bouillard s’inquiète de l’avenir de l’institution à la veille des débats budgétaires au Parlement, et des échéances électorales.

Le

Maire, le plus beau « métier » du monde ?
3min

Société

Intelligences artificielles : « On ne peut pas leur faire confiance », prévient le concepteur de l’assistant vocal Siri

Auditionné par la commission des affaires économiques du Sénat, l’informaticien Luc Julia, concepteur de l’assistant vocal Siri a démystifié les idées reçues sur l’intelligence artificielle. S’il conçoit cette nouvelle technologie comme un « outil » permettant de dégager du temps, il alerte sur le manque de fiabilité des informations.

Le