Par Public Sénat
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« Un grand vent de liberté aurait pu se lever sur le pays, le sort des urnes en a décidé autrement. » La candidate RN est la première à prendre la parole ce 24 avril à l’issue du second tour de l’élection présidentielle. Battue lors de sa troisième campagne, elle dénonce une campagne d’entre-deux-tours aux « méthodes déloyales, brutales et violentes similaires à ce que subissent au quotidien les Français » et lance la bataille pour les législatives qui se dérouleront les 12 et 19 juin prochains.
Pour elle, la défiance du peuple est grande et une nouvelle séquence s’ouvre ce soir, « celle d’une grande recomposition » les français manifestant par leur vote le souhait d’un contre-pouvoir fort et affirme « dans cette défaite, je ne peux m’empêcher d’y voir une forme d’espérance » car Marine Le Pen voit dans son score « une éclatante victoire ».
« Je crains ce soir que le quinquennat qui s’ouvre ne rompt pas avec les méthodes méprisables et brutales du précèdent », poursuit la candidate battue qui souhaite s’engager pour empêcher le président réélu de s’accaparer l’ensemble des pouvoirs en appelant à la mobilisation pour les législations de juin prochain. « Je poursuivrai mon engagement avec l’énergie, la persévérance et l’engagement que vous me connaissez », déclare-t-elle devant ses militants car « la partie n’est pas tout à fait jouée » même si, affirme-t-elle, le mode de scrutin « fausse la représentativité parlementaire ». Pour contrer Emmanuel Macron, le RN œuvrera pour unir et rassembler et soutenir partout des candidats.
« Nous serons ceux qui, avec une sincérité intacte, ne transigerons pas avec vos intérêts, affirme la candidate battue, et nous lançons dans la grande bataille des législatives avec tous ceux qui ont la nation chevillée au corps ».
« Il n’y a pas de fatalité quand les Français déjouent les pronostics, notre camp est dans l’excellente disposition pour juin prochain », conclut Marine Le Pen.
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Politique
Ils vont « nettoyer » le texte, le « décaper ». Les sénateurs de droite et du centre attendent de pied ferme le budget 2026 et le budget de la Sécu. Après avoir eu le sentiment d’être mis à l’écart des discussions, ils entendent prendre leur revanche, ou du moins défendre leur version du budget : plus d’économies et faire table rase des impôts votés par les députés.
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Politique
Le petit frère d’Amine Kessaci, jeune militant écologiste marseillais, connu pour son combat contre le narcotrafic, a été tué par balles jeudi soir à Marseille. L’hypothèse d’un assassinat d’avertissement est privilégiée et pourrait faire basculer la France un peu plus vers ce qui définit les narco Etats. C’est ce que craignaient les sénateurs de la commission d’enquête sur le narcotrafic. Le sénateur écologiste de Marseille Guy Benarroche, proche d’Amine Kessaci a pu s’entretenir avec lui, ce matin.
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Politique
Mehdi, le petit frère d’Amine Kessaci, jeune militant écologiste marseillais, connu pour son combat contre le narcotrafic, a été tué par balles jeudi soir à Marseille. En 2020, c’est l’assassinat de son grand frère Brahim, qui avait conduit le jeune garçon à s’engager en politique. Son parcours est le sujet du documentaire « Marseille, des larmes au combat », Anaïs Merad, à revoir sur Public Sénat.
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Politique
Invités sur le plateau de Parlement Hebdo, le sénateur Bernard Jomier (Place Publique) et le député Sylvain Berrios (Horizons) sont revenus sur le projet de loi pour lutter contre les fraudes fiscales et sociales, examiné par la Chambre haute depuis mercredi. La majorité rassemblant les élus de la droite et du centre au Sénat ont affermi le texte en commission, y ajoutant une batterie de mesures qui ne fait pas consensus.
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Dans les Pyrénées-Orientales avec Jean Sol