Municipales: Darmanin annoncera en février à quelle place il sera candidat à Tourcoing
Le ministre de l'Action et des Comptes publics, Gérald Darmanin, dira le 14 février à quelle place il sera candidat à Tourcoing ...

Municipales: Darmanin annoncera en février à quelle place il sera candidat à Tourcoing

Le ministre de l'Action et des Comptes publics, Gérald Darmanin, dira le 14 février à quelle place il sera candidat à Tourcoing ...
Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Le ministre de l'Action et des Comptes publics, Gérald Darmanin, dira le 14 février à quelle place il sera candidat à Tourcoing (Nord), a-t-il annoncé dimanche sur France 3 Nord Pas-de-Calais.

"Je serai candidat aux élections municipales à Tourcoing, je ne sais pas à quelle place" (tête de liste ou simple membre de la liste, ndlr), a-t-il déclaré sur le plateau de "Dimanche en politique". Cela "dépendra de plein de choses, de mon équipe municipale, de ce que pensent les Tourquennois, du président de la République..."

"On verra bien en février. Je déclarerai mon amour à Tourcoing le jour de la Saint-Valentin (le 14 février)", a-t-il précisé.

M. Darmanin, également premier adjoint au maire de Tourcoing, a assuré ne pas "oublier d'où (il) vient". "Je n'oublie pas que les Tourquennois m'ont beaucoup apporté" mais "je ne présume en rien du vote des électeurs", a-t-il affirmé.

Interrogé sur la tête de liste LREM à Lille, Violette Spillebout, préférée à Valérie Petit qui avait pourtant sa préférence, M. Darmanin a assuré: "Elle a mon soutien et si j'étais Lillois, je voterais pour elle."

Partager cet article

Dans la même thématique

5min

Politique

Conférence Travail et Retraites : « Si on veut avancer sur les retraites, il faut passer par la case travail »

Alors que la bataille à laquelle se livrent l’exécutif et les députés sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale bat son plein à l’Assemblée nationale, les partenaires sociaux se réunissent ce matin pour la première plénière de la conférence sur les retraites. Souhaitée par Sébastien Lecornu, le ministre du Travail et des Solidarités Jean-Pierre Farandou y voit une « démarche moderne et inédite », souhaitant replacer le travail au cœur des débats.

Le