Par Maud Larivière
Temps de lecture :
1 min
Publié le
Mis à jour le
Le président du groupe PS au Sénat et sénateur du Nord a annoncé qu’une rencontre entre lui et Martine Aubry, la maire de Lille, aura lieu « pendant l’été ».
Pourtant connus pour ne pas filer le parfait amour, les deux élus vont finalement se retrouver à la même table. « Vous savez Martine Aubry et moi, nous avons des points communs. Nous sommes tous les deux socialistes, nous voulons que le Beffroi reste à gauche, et pas de remise en cause des acquis de temps d’années de progrès social dans cette ville » argumente-t-il, avant d’ajouter : « Je pense que nous devons travailler ensemble, progresser ensemble, et chacun aura la place qu’il doit avoir au moment des municipales ».
« Je suis dans une logique d’apaisement » déclare-t-il, sans pour autant évoquer un possible retrait de la campagne des municipales en faveur de la maire actuelle.
Et la vraie position du sénateur sur le dossier n’est pas encore avérée. Qu’il y a une volonté certaine de mobiliser les forces, certes. Mais que l’on pousse. La vérité n’est pas aussi simple.
Politique
Rachida Dati, la ministre de la Culture, auditionnée par le Sénat mardi, « nous dit que tout va bien, qu’elle a un budget fantastique, que le Louvre a plus de moyens, alors qu’il perd un million d’euros. Il y a quelque chose qui ne va pas », dénonce le sénateur PCF, Pierre Ouzoulias.
Le
Politique
Le Parlement adopte la notion de non-consentement dans la définition pénale du viol
Après le vote de l’Assemblée nationale, le Sénat a adopté la modification de la définition pénale du viol. L’absence de consentement est désormais intégrée à l’article 222-22 du Code pénal. Le texte devrait entrer en vigueur prochainement après promulgation par le chef de l’Etat.
Le
Politique
Dans la foire aux amendements du budget 2026, c’est peut-être la taxe de trop pour la majorité relative. Le président du groupe Modem de l’Assemblée dénonce « la démagogie totale » du PS, qui a voté un amendement LFI sur la taxation des multinationales. Elle rapporterait 26 milliards d’euros. Dans ces conditions, il ne voit plus de raison de négocier avec le PS, et prévient : « On ne votera pas » le budget s’il reste en l’état.
Le
Politique
A l’occasion des questions d’actualité au gouvernement, le premier ministre a exprimé ses réticences concernant la taxation du patrimoine professionnel. Le patron des sénateurs socialistes, Patrick Kanner, met en garde le gouvernement et demande « de la justice fiscale pour épargner les Français les plus modestes ».
Le
Sens Public