Nantes : un prêtre tué, les parlementaires apportent leur « soutien aux catholiques »
Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin l’a annoncé sur Twitter. Ce lundi, un prêtre a été tué à Nantes. Les Parlementaires n’ont pas tardé à apporter leur soutien aux « catholiques de France ».

Nantes : un prêtre tué, les parlementaires apportent leur « soutien aux catholiques »

Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin l’a annoncé sur Twitter. Ce lundi, un prêtre a été tué à Nantes. Les Parlementaires n’ont pas tardé à apporter leur soutien aux « catholiques de France ».
Public Sénat

Par la rédaction de Public Sénat

Temps de lecture :

3 min

Publié le

Mis à jour le

Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin l’a annoncé sur Twitter. Ce lundi, un prêtre a été tué à Nantes. Le ministre a également annoncé se rendre sur place.

Selon les informations de l’AFP, un homme s’est présenté en milieu de matinée à la brigade de gendarmerie de Mortagne-sur-Sèvre et a dit avoir tué un ecclésiastique. L’homme avait été placé sous contrôle judiciaire dans le cadre de l’enquête sur l’incendie de la cathédrale de Nantes en juillet 2020.

 

 

Sur Twitter, les sénateurs et sénatrices ont exprimé leur soutien « à la communauté catholique ».

Le chef de file des Républicains et sénateur de Vendée, Bruno Retailleau, a également interrogé la présence de cet homme en France alors que « celui-ci était le sans-papiers qui avait incendié la cathédrale de Nantes ». Interpellé par Marine Le Pen, le ministre de l’Intérieur a répondu sur ce point : « Cet étranger n’était pas expulsable, malgré son arrêté d’expulsion, tant que son contrôle judiciaire n’était pas levé ».

Partager cet article

Dans la même thématique

Covid-19 Saint Denis hopital Delafontaine
6min

Société

« C’est une plaisanterie ! » : le choix de repousser encore l’examen au Sénat des textes sur la fin de vie divise l’hémicycle

L’examen de la proposition de loi sur le droit à l’aide à mourir n’a pas été inscrit à l’agenda du Sénat dans les prochaines semaines. Même situation pour le texte sur l’amélioration des soins palliatifs. Si la droite s’inquiétait d’un délai trop serré pour étudier ces questions sensibles avant le budget, la gauche dénonce, elle, « un prétexte de calendrier » pour repousser les débats.

Le