Alain Juppé, maire de Bordeaux, a de nouveau exclu d'être un recours des Républicains à l'élection présidentielle en cas de forfait de François Fillon: "Clairement et définitivement, c'est non", a-t-il déclaré lundi matin à des journalistes à Bordeaux.
Interrogé sur des rumeurs quant à la possibilité qu'il revienne sur sa décision de ne pas suppléer François Fillon, empêtré dans l'affaire des présumés emplois fictifs de son épouse et de ses enfants, Alain Juppé a déclaré: "J'ai un peu de mal à comprendre d'où viennent ces rumeurs. J'ai dit quelle était ma position: clairement et définitivement, c'est non. Et vous me connaissez, non c'est non!"
Alain Juppé et François Fillon le 25 janvier 2017 à Bordeaux
AFP/Archives
Interrogé à son arrivée lundi matin à la mairie de Bordeaux, le rival malheureux de François Fillon à la primaire de la droite a ajouté: "Aujourd'hui, on va écouter François Fillon". Ce dernier devrait s'expliquer longuement dans un média lundi sur le "Penelopegate", d'après son entourage.
Au cours des deux dernières semaines, Alain Juppé avait déjà exclu à deux reprises d'être "le recours".
Auditionné par la commission d’enquête du Sénat sur les agences de l’Etat, Laurent Marcangeli est revenu sur la méthode du gouvernement pour « simplifier » l’écosystème des agences et opérateurs de l’Etat. Les plans ministériels devraient être finalisés à la mi-juin et ce travail pourrait donner lieu à un projet de loi, voire une proposition de loi, a annoncé le ministre de la Fonction publique.
A 10 jours de l’élection du président des Républicains, Laurent Wauquiez laboure les terres de la droite pour aller chercher une victoire face au favori, Bruno Retailleau. Ce mercredi, dans un restaurant du XVe arrondissement de Paris, le chef de file des députés de droite a présenté sa candidature « de rupture » avec le pouvoir en place. Membre du gouvernement, l’élection de Bruno Retailleau à la tête des LR ferait prendre le risque, selon lui, d’une dilution de la droite dans le macronisme.
Le président du groupe socialiste au Sénat, Patrick Kanner, a interpellé ce 7 mai, lors des questions au gouvernement, le Premier ministre François Bayrou sur les projets de référendum évoqués ces derniers jours par l'exécutif.
Réagissant à la publication d’un livre à charge sur le fonctionnement de la France insoumise, Patrick Kanner, le président du groupe PS au Sénat, épingle le rôle joué par Jean-Luc Mélenchon. Il appelle la gauche à tirer les enseignements de cet ouvrage.