Paris Normandie : « Le chômage partiel explose »
Comment la presse quotidienne régionale s’adapte à cette crise sanitaire ? Tous les jours un responsable de rédaction répond à nos questions et évoque les difficultés pour poursuivre cette mission d’informer ses lecteurs.Aujourd’hui direction Rouen et le quotidien Paris Normandie avec ce titre sur l’explosion du chômage partiel.

Paris Normandie : « Le chômage partiel explose »

Comment la presse quotidienne régionale s’adapte à cette crise sanitaire ? Tous les jours un responsable de rédaction répond à nos questions et évoque les difficultés pour poursuivre cette mission d’informer ses lecteurs.Aujourd’hui direction Rouen et le quotidien Paris Normandie avec ce titre sur l’explosion du chômage partiel.
Public Sénat

Par Oriane Mancini

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Un dossier spécial est notamment consacré à l’économie et à la fragilisation de nombreux secteurs. Dans les autres pages, il est question de la problématique de l’enseignement à distance ou encore du rôle de l’industrie pharmaceutique. Paris Normandie qui se mobilise pour accompagner ses lecteurs dans cette période difficile avec des pages baptisées « Gardons le moral ! » et un direct à midi sur Facebook chaque jour à midi avec un invité pour répondre aux questions.
Tous les détails dans cette interview de Thierry Rabiller, le rédacteur en chef de Paris Normandie.

Pendant toute la période du confinement, retrouvez chaque jour de semaine notre interview de vos quotidiens régionaux, en ligne sur publicsenat.fr et notre chaîne YouTube.
 

Partager cet article

Dans la même thématique

Paris Normandie : « Le chômage partiel explose »
7min

Politique

Le Sénat allège l’effort demandé aux collectivités via le Dilico, système d’« infantilisation des élus », dénonce la gauche

Issu d’une idée de la majorité sénatoriale l’an dernier, le Dilico est un « système d’épargne forcée » qui permet de faire contribuer les collectivités à l’effort d’économies. Dénoncé avec force par la gauche et une partie du centre et de la droite, le dispositif a été revu, après des débats parfois tendus, pour ramener la ponction de 2 milliards à 890 millions d’euros.

Le