« Partir en livre » ou comment donner le goût de la lecture aux enfants
Du 10 au 21 juillet, le centre national du livre (CNL) organise, pour la cinquième année consécutive, l’événement « Partir en livre ». 6 000 manifestations sont prévues dans toute la France pour aller à la rencontre des enfants et des adolescents et leur transmettre le plaisir de la lecture. Interview de Vincent Monadé, président du CNL.

« Partir en livre » ou comment donner le goût de la lecture aux enfants

Du 10 au 21 juillet, le centre national du livre (CNL) organise, pour la cinquième année consécutive, l’événement « Partir en livre ». 6 000 manifestations sont prévues dans toute la France pour aller à la rencontre des enfants et des adolescents et leur transmettre le plaisir de la lecture. Interview de Vincent Monadé, président du CNL.
Public Sénat

Par Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Ce mardi, le ministre de la Culture, Franck Riester donnait le coup d’envoi de la cinquième édition de l’évènement « Partir en livre ». Organisé par le centre national du livre (CNL) et parrainé, cette année, par Zep, le dessinateur de la célèbre bande dessinée, Titeuf, « Partir en livre » ira à la rencontre des jeunes afin de leur donner le plaisir de lire. 6000 manifestations sont prévues sur tout le territoire du 10 au 21 juillet. Un parc d’attractions littéraires sera, par exemple, installé à la Courneuve mais aussi des livrodromes à Saint-Nazaire, Orléans et Saint-Étienne. Pour en savoir plus, voir l’interview de Vincent Monadé, le président du CNL.

 

Partir en livre 2019 : interview de Vincent Monadé président du centre national du livre
02:13

 

Partager cet article

Dans la même thématique

Photo illustration in Canada  –  30 Jul 2025
8min

Société

TikTok : est-il possible d’interdire les réseaux sociaux aux mineurs de moins de 15 ans ?

La commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur les effets psychologiques de TikTok préconise notamment une interdiction des réseaux sociaux pour certains mineurs et l’instauration d’un couvre-feu numérique. Des recommandations saluées par les sénateurs qui ont travaillé sur ce sujet, mais qui pourraient se heurter au cadre juridique européen et à certaines difficultés techniques.

Le