Ce mardi, Frédéric Valletoux, député Horizons de Seine-et-Marne, ancien ministre de la Santé, était invité de la matinale de Public Sénat. Au lendemain de l’engagement de la responsabilité du gouvernement par Michel Barnier, et à la veille du vote d’une motion de censure, il est revenu sur la méthode adoptée par le Premier ministre depuis sa nomination. Il pointe notamment un manque de dialogue entre les députés du socle commun et le gouvernement.
Pas de moratoire sur la 5G : «C’est une faute démocratique» dénonce Clémentine Autain
Par Noémie Metton
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Bridgestone : « J'appelle l'État à organiser les choses différemment de telle sorte que les salariés aient dû pouvoir dans l'entreprise et qu'on arrête de donner tant d'argent à des entreprises qui licencient »
Aides aux entreprises : « Si vous étiez limite avant le confinement, ne croyez pas que vous allez bénéficier du soutien de l'État. En revanche des grands groupes eux, vont être sauvés, et en même temps en profitent pour se séparer de salariés »
Allègement du protocole sanitaire dans les écoles : « Je pense que celui-ci me paraît logique. Il me semble raisonnable d'agir comme ça dans l'école. Après il faut protéger les enseignants »
4000 enfants manquaient dans les classes à la rentrée en Seine-Saint-Denis : « C'est faux. Ces chiffres sont basés sur une mauvaise estimation du rectorat. On attend le correctif » « Les parents sont très attachés à l'école et très inquiets. Il y aura un rectificatif du recteur mais je suis en colère de la stigmatisation qu'il y a eu pour le département ».
Tests Covid-19 : « Les vétérinaires pourraient faire ce type de tests mais ce n'est pas organisé donc c'est préoccupant. On se demande si on ne va pas avoir un 2e confinement qui aurait des conséquences sociales, économiques, psychologiques ».
Cédric O dit non à un moratoire sur la 5G : « C'est une faute sur le plan démocratique. La convention citoyenne voulait un moratoire. C'est un vrai problème démocratique »
Coalition de la gauche : « Au sein des gauches et des écologistes aujourd'hui, personne ne peut prétendre à l'hégémonie, à être en tête. On n'est plus au temps où on avait un parti socialiste dominant à gauche et des aiguillons »