Par Public Sénat
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Invité de Public Sénat ce lundi, François Patriat est revenu sur le choix des sénateurs LREM de boycotter l’audition d’Alexandre Benalla mercredi par la commission d’enquête du Sénat (voir notre article sur le sujet). « Nous n’irons pas à la commission d’enquête mercredi matin. Nous l’avons décidé d’un commun accord aux journées parlementaires (à Tours) avec Alain Richard » explique le président du groupe LREM du Sénat.
« Dans ce que nous avons appelé la saison 2 de l’affaire Benalla, l’épisode 2 va être surmédiatisé par la volonté de la commission, qui entend poursuivre ses investigations dans une forme de tintamarre médiatique » dénonce François Patriat. « Nous avons le sentiment que la commission se soucie peu d’Alexandre Benalla, mais qu’elle se soucie plutôt de porter atteinte au gouvernement et au chef de l’Etat » ajoute-t-il. « Nous savons pratiquement tout, mais on continue à faire croire qu’il y aurait des zones de flou » selon le sénateur, « la lumière a été faite ». « Devant cet excès de zèle, nous préférons nous tenir à l’écart » conclut François Patriat.
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Invité de la matinale de Public Sénat, le député (LFI) et président de la commission des Finances de l’Assemblée nationale a réagi à la déclaration de Jérôme Guedj sur Jean-Luc Mélenchon lors du Congrès du PS, le traitant de « salopard antisémite ». Éric Coquerel et la France insoumise demandent au Parti socialiste de « prendre ses distances » avec cette déclaration.
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Brice Teinturier : « Il n'y a plus de débat en France, il y a de l'invective »
Lors de ses vœux, le Président a annoncé son souhait de voir les Français « trancher » sur « des sujets déterminants », ce qui laisse supposer que le chef de l'État envisage un retour au référendum. Néanmoins, les sujets sur lesquels les Français souhaitent trancher sont nombreux, pouvoir d'achat, fin de vie… Le référendum recolle-t-il vraiment les Français à la politique ? Invités de l’émission spéciale Dissolution, un an après, Brice Teinturier, Anne Levade, Laure Salvaing et David Djaïz tentent d'y répondre.
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Nicolas Mayer-Rossignol et Olivier Faure, réélu premier secrétaire du PS, ne sont pas parvenus à un accord pour intégrer toutes les sensibilités politiques dans la direction. Le maire de Rouen sera avec ses amis dans une minorité qui entendra faire entendre sa voix, avec à la clef un parti toujours coupé en deux.
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