Penelopegate : Luc Carvounas se demande si « les deniers publics ont payé le château » de Fillon
Au micro de Sénat 360, Luc Carvounas  sénateur (PS) du Val-de-Marne, ironise sur le « Penelopegate » et attend « avec impatience « les « explications » de François Fillon.

Penelopegate : Luc Carvounas se demande si « les deniers publics ont payé le château » de Fillon

Au micro de Sénat 360, Luc Carvounas  sénateur (PS) du Val-de-Marne, ironise sur le « Penelopegate » et attend « avec impatience « les « explications » de François Fillon.
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Mis à jour le

Le sénateur (PS) du Val-de-Marne, Luc Carvounas, a réagi cet après-midi sur l’affaire Penelope Fillon. Cette dernière étant  accusée par le Canard Enchaîné d’avoir été rémunérée comme attachée parlementaire de son mari, de façon fictive : « La justice va faire son office. Une instruction est ouverte. Je suis extrêmement troublé de voir cette multitude de témoignages qui disent que personne n’a jamais vu Madame Fillon au travail. Huit ans de travail, ce sont des sommes importantes. D’ailleurs, j’ai cru faire un petit parallèle : le château de Monsieur Fillon a coûté dans les 400 000 euros, on parle d’une somme de 500 000 euros. Ce serait quand même très difficile pour celui qui veut être chef de l’Etat qu’on se rende compte que les deniers publics ont payé son château  (…) J’attends avec impatience les débuts des explications [de François Fillon] (…) C’est très troublant".

Et de poursuivre : « Même Madame Valérie Pécresse dit « Je n’ai jamais vu Madame Penelope Fillon travailler à ses côtés » ».

« Donc on va voir tout ça » : ajoute-t-il guilleret.

Partager cet article

Dans la même thématique

juppé Ok
9min

Politique

Présidentielle : de 1995 à 2022, que donnaient les sondages plus d’un an avant l’élection ?

Edouard Balladur élu en 1995, DSK en 2012, Alain Juppé en 2017… Et Jordan Bardella en 2027 ? Voici les résultats des élections présidentielles, si l’on était dans un monde parallèle. Celui des sondages, à 18 mois environ du scrutin. Car si les sondages peuvent donner la tendance du moment, ils ne sont pas des prédictions, l’histoire nous l’a monté. Mais parfois, ils ont aussi vu juste, très en amont…

Le