Popularité : Macron et Philippe à nouveau en baisse
La cote de popularité d'Emmanuel Macron (-3) et d'Edouard Philippe (-4) est à nouveau en baisse en octobre, après une embellie le...

Popularité : Macron et Philippe à nouveau en baisse

La cote de popularité d'Emmanuel Macron (-3) et d'Edouard Philippe (-4) est à nouveau en baisse en octobre, après une embellie le...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

La cote de popularité d'Emmanuel Macron (-3) et d'Edouard Philippe (-4) est à nouveau en baisse en octobre, après une embellie le mois précédent, selon un sondage BVA diffusé mercredi.

Seule une minorité parmi les Français interrogés (42%) a une opinion positive du chef de l'Etat, alors que les "mauvaises opinions" grimpent de 5 points par rapport à septembre à 56%, dix jours après son interview télévisée de rentrée.

Emmanuel Macron perd notamment des points auprès des sympathisants socialistes (-11) et du Front national (-7). Depuis son entrée en fonction mi-mai, sa popularité a chuté de 20 points auprès de l'ensemble des Français interrogés, selon ce baromètre réalisé pour Orange et La Tribune.

Edouard Philippe connaît une baisse comparable, avec 44% d'opinions favorables, tandis qu'un Français sur deux (50%, +4) a une mauvaise opinion de lui en tant que chef du gouvernement.

Nicolas Hulot conforte pour sa part sa position en tête du classement des personnalités politiques dont les Français souhaitent qu'elles aient "davantage d'influence", avec 42% (+1) d'opinions positives. Le ministre de la transition écologique devance Alain Juppé (32%, =), Jean-Yves Le Drian (32%, -1), Xavier Bertrand (31%, -1) et Bruno Le Maire (30%, +1).

Enquête réalisée en ligne du 24 au 25 octobre auprès de 1.193 personnes de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. Marge d'erreur de 1,4 à 3,1 points.

Partager cet article

Dans la même thématique

Popularité : Macron et Philippe à nouveau en baisse
3min

Politique

Industrie : « Il y a une logique presque stratégique de la part de la Chine de vouloir attaquer des pans entiers de notre économie », prévient Sébastien Martin 

Invité de la matinale de Public Sénat, le ministre de l’Industrie, Sébastien Martin alerte sur la menace que fait peser la Chine sur l’industrie française. Le ministre plaide notamment pour un renforcement de la protection des entreprises européennes afin de développer les filières industrielles.

Le

SIPA_01221444_000001
4min

Politique

Otages français en Iran : Cécile Kohler et Jacques Paris sont sortis de prison, mais « ils ne sont pas libres », précise l'avocate des familles

Cécile Kohler et Jacques Paris, détenus depuis mai 2022 en Iran suite à des accusations d’espionnage, « sont sortis de la prison d'Evin et sont en route pour l'ambassade de France à Téhéran », a annoncé Emmanuel Macron sur X. Les avocats des familles précisent qu'ils ne sont pas libres et toujours empêchés de regagner la France

Le

Paris : session of questions to the government at the Senate
10min

Politique

« Vexations », échanges « pas fluides », négos avec le PS : pourquoi la relation entre le Sénat et le gouvernement Lecornu s’est détériorée

Depuis « un mauvais départ », le courant passe mal entre la majorité LR-centriste du Sénat et le gouvernement. Discussions avec le PS au détriment des LR, députés invités à Matignon sans les sénateurs, qui aimeraient « être dans la boucle »… Les causes de fâcheries se multiplient. Pour tenter de retisser des liens dégradés, Sébastien Lecornu invite les présidents de groupe du Sénat à Matignon ce mercredi, avant de se rendre en conférence des présidents.

Le

Popularité : Macron et Philippe à nouveau en baisse
5min

Politique

« C’est à la fin de la partie qu’on comptera les choses » : sur le budget, les socialistes veulent encore laisser du temps au gouvernement

Les députés mettent en pause l’examen du projet de loi de finances pour étudier le budget de la Sécurité sociale. S’ils ne sont pas allés au bout de la partie recettes, ils ont néanmoins pu adopter un certain nombre de mesures absentes du projet initial. Certaines sont vues par le gouvernement comme des gains concédés aux socialistes, bien que ces derniers se montrent toujours insatisfaits. Pas suffisamment, pourtant, pour interrompre les négociations et l’examen budgétaire.

Le