Présidentielle: pour Larcher (LR), Marine Le Pen est l’ennemie principale
Gérard Larcher, président du Sénat et soutien de François Fillon, a désigné mardi Marine Le Pen comme l'"ennemi numéro 1" à...

Présidentielle: pour Larcher (LR), Marine Le Pen est l’ennemie principale

Gérard Larcher, président du Sénat et soutien de François Fillon, a désigné mardi Marine Le Pen comme l'"ennemi numéro 1" à...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Gérard Larcher, président du Sénat et soutien de François Fillon, a désigné mardi Marine Le Pen comme l'"ennemi numéro 1" à battre lors de l'élection présidentielle, parce qu'"elle est contraire à tous les intérêts de la France".

Interrogé sur Cnews sur "l'ennemi public numéro 1 à battre", M. Larcher (Les Républicains) a fermement répondu "Marine Le Pen".

"Elle est contraire à tous les intérêts de la France et des Français, aux valeurs de la République", a-t-il déclaré. La candidate du Front national nous propose "la peur, le repli sur soi, la sortie de l'Europe...", a énuméré le président du Sénat.

Pourquoi François Fillon cible-t-il autant Emmanuel Macron lors de ses meetings ? "Parce que nous sommes naturellement dans la démocratie en compétition avec Emmanuel Macron, Benoît Hamon, (Jean-Luc) Mélenchon", a fait valoir M. Larcher, au matin du débat télévisé entre les onze candidats à la présidentielle.

"Il y a une hiérarchie aussi des projets", a-t-il dit, jugeant celui d'Emmanuel Macron "encore flou".

Interrogé sur son attitude en cas de duel Le Pen/Macron au second tour, il a répondu : "Ce sera François Fillon qui sera présent au 2e tour. Si tel n'était pas le cas on verra le moment venu, mais ce sera Fillon présent au 2e tour".

Partager cet article

Dans la même thématique

Présidentielle: pour Larcher (LR), Marine Le Pen est l’ennemie principale
4min

Politique

Primes, normes, décentralisation : ce qu’il faut retenir du discours de Sébastien Lecornu devant les maires ?

En clôture du Congrès de l’Association des maires de France (AMF), le Premier ministre a fait part de sa volonté de simplifier les normes qui pèse sur les élus locaux. Il a confirmé son engagement en faveur d’un grand acte de décentralisation avec le dépôt d’un projet de loi avant Noël mais sans s’engager sur une baisse de l’effort demandé aux collectivités dans le budget, au grand dam des élus.

Le